vendredi 7 juin 2019

Michèle Torr va bien : nouvelles suites pour chroniques passées…


Depuis 2013, se sont succédé sur la page de L’Admirateur des chroniques à travers lesquelles  nous nous proposions de revisiter le répertoire de Michèle Torr, en suivant le chemin de thèmes en relation avec l’actualité du moment. Comme ce fut le cas au moment de la sortie de Diva, voici donc de nouvelles suites pour ces chroniques passées, à l’occasion de la sortie du nouvel album de la chanteuse, Je vais bien


Tout d’abord, Michèle Torr chante encore…Edith Piaf.
« La première chanson qui nous a réunis
C’était autour de mes quinze ans
J’avais trouvé les clés du paradis
Elle était si fière ma maman… »,
La première chanson.
Mais où est-il question de Piaf dans ces paroles ? C’est que la première chanson en question, celle que Michèle Torr avait choisie pour sa participation au concours On chante dans mon quartier à Avignon, concours qu’elle a gagné et qui lui a permis de se produire en première partie de Jacques Brel sur la scène du Palais des Papes, c’est Exodus… d’Edith Piaf.


Ensuite, Michèle Torr chante encore… sa famille, et en particulier sa mère : elle évoque, dans La première chanson, non seulement cette chanson de Piaf que Clémente Tort lui avait fait aimer, mais aussi les liens très forts qui les unissaient et la façon dont la mère avait encouragé sa fille à essayer de faire son chemin dans le domaine de la chanson, elle qui, selon sa fille, avait une si belle voix et qui aurait tant aimé (et pu) faire carrière, puisqu’elle avait été remarquée par Jean Nohain.
« … Elle était si fière ma maman
Nous prenions toutes deux
Comme une joie intense
Vos bravos chaleureux
Dans toute votre indulgence… ».
Hélas cette joie intense procurée par les premiers succès de Michèle, Clémente Tort ne l’éprouvera pas longtemps, puisqu’elle décède dans un accident de voiture, le 28 décembre 1965… Ce soir-là, Michèle chantait à Marseille, en première partie de Claude François.
« Dans ce maudit soir de décembre
Je suis restée seule avec mes rêves
Mon Dieu que j’avais besoin de vous
Je me disais sans bien comprendre
C’est mon enfance qui s’achève
Mon Dieu il ne me reste plus que vous
Il ne me reste plus que vous
La première chanson que l’on a partagée
Disait C’est dur d’avoir seize ans
Et d’un coup c’était tellement vrai
Elle était si loin ma maman… ».
Il lui faudra du temps pour s’en remettre, s’occuper de sa sœur Brigitte,  donner naissance à son fils Romain, et retrouver l’envie de chanter et de reprendre sa jeune carrière en main…
« J’ai versé toutes mes larmes
Puis j’ai chassé mes doutes
J’ai rechargé mes armes
Et j’ai repris ma route… ».


Aussi Michèle Torr chante encore… à la fois ses parents, les couleurs, les fleurs et sa Provence lorsqu’elle proclame :
« J’ai grandi sous un ciel lavande
Protégée par tant d’amour… »,
dans Les jours heureux, évoquant la couleur du ciel de sa région natale et sa fleur emblématique en même temps que l’amour éprouvé au sein du cocon familial.


C’est encore sa famille qu’elle chante quand elle reprend Un enfant c’est comme ça, qui date de 1973, et dans laquelle elle parle de son fils dont elle imagine, douloureuse, le premier jour d’école, alors que sa fille Emilie était sur le point de naître :
« J’aurai bien du chagrin
Pourtant je te pardonne
Tu quitteras ma main
Par un matin d’automne
Et puis ce jour tu  me laisseras là
Je connais les enfants
Un enfant c’est comme ça… »,
à moins que ce ne soit un tout autre départ auquel on pense, une autre première fois, un autre envol, vers l’âge adulte (service militaire, premier travail, mariage…) ou, plus tristement, un décès, car il n’est pas naturel qu’un enfant meure avant sa mère, et celle-ci de se transformer alors en piéta éplorée. C’est tout cela que l’on entend dans cette chanson intensément lyrique ici chantée tout en douceur et retenue, avec une très grande pudeur.


Et c’est son fils qu’elle chante encore en reprenant Les choses de la vie, que celui-ci composa pour elle en 1987 :
« Toucher
Du bout des doigts
Une fleur qui vient à la vie
Penser
Que tout est grand
Et que tout est joli
Parler
Tout doucement à un enfant
Avec son cœur… 
Tout est beau jusqu’à l’infini
Malgré ce monde en folie…».


Si de sa foi elle ne dit pas grand chose :
« …Mon Dieu que j’avais besoin de vous
Je me disais sans bien comprendre
C’est mon enfance qui s’achève
Mon Dieu il ne me reste plus que vous…»,
La première chanson,
-          Mais est-ce bien de Dieu qu’elle parle ? –
« J’ai rangé mes prières
Dans le grand livre de ma vie
Et les larmes n’y pourront rien changer »,
On aurait pu on aurait dû,
c’est donc aussi bien la vie que la mort que chante encore Michèle Torr :
« Pleurer
Ça fait partie de notre vie
Et pourquoi pas ? » ,
Les choses de la vie,
car la mort fait partie de la vie, la vie qui peut être belle et pleine de promesses :
« Je revois la petite fille
Chanter la vie dans son jardin
Si fort que c’est monté jusqu’à vous
Que c’est monté jusqu’à vous… »,
La première chanson.
« Mais la vie bien trop vite défile
Et les rêves d’une enfant
Ressemblent à des statues d’argile
Qui se brisent au moindre vent »
Les jours heureux.
Cependant, s’il est des rêves que l’on ne parvient pas à vivre, il en est d’autres que, grâce à une volonté, une ténacité, une pugnacité plus fortes, certains parviennent à concrétiser.
Comme celui de devenir chanteuse.
Il faut savoir profiter de la vie :
« Je vis au jour le jour quitte à feindre l’insolence
Je me fous des toujours tant que j’ai l’innocence
Je vais bien »,
Je vais bien,
partir  en quête du bonheur :
« Les jours heureux sont des poussières d’éternité
Je passe ma vie à les chercher
Et pourtant c’est tellement difficile
Les jours heureux sont comme des flashes instantanés
Qu’il ne faut pas laisser filer »,
Les jours heureux,
tout en sachant que cela se terminera un jour :
« A l’aube d’un nouveau jour
J’oublie tous les tourments
Et le compte à rebours
De la vie qui m’attend »,
Je vais bien.

Si sa vie c’est chanter, c’est la musique que Michèle Torr met encore en avant:
« Le romantisme au féminin
C’était un baiser sur la main
Quand George Sand aimait Chopin…
Et moi je suis comme ces pianos qui pleurent de nostalgie… »
Romantique Féminine.
« Jouer sur un piano
Un adagio d’Albinoni…
Les choses de la vie
Sont une symphonie… »
Les choses de la vie.
« Et tous les Mozart de la Terre
Entière
Jouent un concerto solidaire
Super
Sur notre histoire d’amour vécue sans heurts
Comme au premier quart d’heure …
«Et tous les violons de la Terre
Entière
Jouent un adagio solidaire
Super
Sur notre histoire d’amour vécue sans faille
Sans violence ni bataille».
Sentiments.
Et pour finir une  Chanson inédite qui « n’est pas un rock ou un slow », qui « ne se joue pas au piano…, qui n’est même pas dans un tiroir ni dans la caisse d’une guitare »,  mais c’est quand même une très belle chanson évoquant le passage de la scène à la vie quotidienne qui, dans un sens ou dans l’autre, est comme une petite mort, ou une renaissance…
« Elle s’ fout pas mal de mon show
De la critique et du tempo
Celle qui ne me voit pas en artiste
Et que je me chanterai tout bas
Tout à l’heure dans un restaurant
Celle qui raconte ma vie à moi
Cette drôle de chanson inédite… ».


Profession artiste.
Etre chanteuse.
C’est de cela qu’elle parle encore.
De ce métier qui n’en est pas un et qui pourtant lui prend toute sa vie.
Je vais bien raconte encore cela : le bonheur de chanter.
« J’avais trouvé les clés du paradis…
Nous prenions toutes deux
Comme une joie intense
Vos bravos chaleureux
Dans toute votre indulgence
Et quand les lumières m’habillent
Et que j’oublie tous mes chagrins
Je suis si bien là devant vous… »,
car chanter c’est partager :
« La première chanson que l’on a partagée
Disait C’est dur d’avoir seize ans »,
C’est une (ré)union.
La première chanson.
« A l’aube d’un nouveau jour
J’établis le bilan
Des bienfaits de l’amour
Des moments bouleversants
J’ai connu le succès
Les plus beaux compliments
Et vous m’avez montré
Le plus grand dévouement
Le seul qui dans ma vie jamais ne m’a laissée
Le seul qui dans ma vie jamais ne m’a lésée
Je vais bien
Dans les instants de doute je souris l’air de rien
Je vais bien
Je vais de joies en peines mais le cœur sur la main
Je me vois dans vos yeux
Je vois le lendemain
Grâce à vous je vais bien »,
Je vais bien.


« Les jours heureux sont comme des flashes instantanés
Qu’il ne faut pas laisser filer
Près de vous j’en aurai jamais assez
J’ai chanté sur des scènes immenses
Protégée par tant d’amour
Je pensais de toute évidence
Que ça durerait toujours…
Mais je ne change pas de cible
Vous offrir le fond de mon cœur… 
Mais quoi qu’on dise quoi qu’on fasse
Jamais je ne renoncerai… »
Les jours heureux
« C’est pourquoi
Jusqu’à la fin des jours
Je chanterai toujours
La grande chanson »,
La grande chanson.


Tout n’est pourtant pas rose bonbon et il faut ajouter le vautour à L’arche de Noé de Michèle http://mtadmirateur.blogspot.com/2016/01/les-amis-de-michele-torr-ou-larche-de.html
« Je repense aux vautours
Qui guettaient vaillamment
Le moindre désamour
Le découragement »,
Je vais bien,
mais Rentrer sur scène vient redéfinir encore ce lien si particulier entre l’artiste et son public à qui aussi ce disque est  un nouvel hommage, de La première chanson à Je vais bien, ou Les jours heureux.

« Et tu me portes
Et mes doutes s’envolent
Je ne veux rien d’autre
Que ce que tu me donnes
Dans le halo du projecteur
Je vous entends je vous respire
Et peu à peu je vous rejoins
Rentrer sur scène
Crier « Je t’aime »
Se dévoiler et se donner
Sans pudeur
Cœur à cœur…»
Rentrer sur scène.

Et bien sûr Michèle Torr chante encore… l’amour.
« A l’aube d’un nouveau jour
J’établis le bilan
Des bienfaits de l’amour
Des moments bouleversants »
Je vais bien.
Cette chronique-là (Michèle Torr chante l’amour)… n’existe pas. Car le thème est trop vaste. On lui a préféré Michèle Torr… chante les hommes, chante Jean Vidal ou encore Intimité et confidences  pour reprendre les titres de deux magazines féminins très populaires dans les années 70 et 80.
Parmi la multitudes de chansons sentimentales qu’elle a interprétées sur ce thème de l’amour, elle a choisi de reprendre La grande chanson,
« La chanson que tu m'avais chantée
Quand on s'est rencontrés un soir d'été
Ce n'est rien qu'un tout petit refrain
Mais pour moi il devient
La grande chanson
Et tant pis si ceux qui nous entendent
Ont souri sans avoir pu comprendre
Que cet air, cet air de rien du tout
Sera toujours pour nous
La grande chanson
Sur cet air j'ai dansé dans tes bras
Pour la première fois, rappelle-toi
Et depuis qu'elle nous a unis
C'est ma meilleure amie
La grande chanson
Ce n'est pas un merveilleux poème
Mais pour moi ce sont les mots que j'aime
C'est pourquoi jusqu'à la fin des jours
Je chanterai toujours
La grande chanson
La grande chanson »,
en toute simplicité,


plus littéraire et lyrique, quand la diva divine s’aligne avec les héroïnes des plus beaux romans sentimentaux, Sarah Woodruff, Catherine Earnshaw, Mademoiselle de Chartres épouse de Clèves, Emma Rouault épouse Bovary, Scarlett O’Hara épouse Butler ou Maria Vetsera, qui ont pour la plupart contracté un malheureux mariage avant de trouver l’amour (et les larmes) ailleurs: Romantique féminine,
« La maîtresse du lieutenant français
Ne savait plus ce qu'elle lisait
Et sur les Hauts de Hurlevent
Aucun fantôme ne l'attend
La princesse de Clèves en mourait
De ses amours à l'imparfait
Madame Bovary s'en moquait
Scarlett O'Hara en pleurait
Et moi je suis de ce pays
Où les femmes ont le cœur  gros comme un fruit
Où elles pleurent diva divine des larmes de bonheur
Romantique féminine
Et moi je suis de ce temps-là
Où le chagrin était comme un lilas
Où les hommes rêvaient de nous
Bien trop sentimentales et eux tellement jaloux
Le romantisme au féminin
C'était un baiser sur la main
Quand George Sand aimait Chopin
En prose ou en alexandrin
Et moi je suis comme ces pianos
Qui pleurent de nostalgie sans dire un mot
Moi je suis dans Mayerling la dernière héroïne
Romantique féminine
Et moi je crois aux cris d'amour
Échangés dans un parc au point du jour
Moi je suis de ces romans où l'homme de ma vie
Est ami et amant
Et moi je suis de ce pays
Où les femmes ont le cœur  gros comme un fruit
Où elles pleurent diva divine des larmes de bonheur
Romantique féminine »,
 et Sentiments


« Sentiments
Chaque soir j'attends
Cet instant sublime
Où comme un enfant
Tu me dis "Je t'aime"
Que ta vie est mienne
Que tout nous rassemble
Que c'est bon de vivre ensemble
Et quand tu me dis "Viens,
Ce soir la nuit nous appartient"
Je redeviens cette femme fragile
Qui rêvait de ton île
Et tous les Mozart de la Terre entière
Jouent un concerto solidaire super
Sur notre histoire d'amour vécue sans heurt
Comme au premier quart d'heure
Sentiments
Chaque soir j'attends
Cet instant sublime
Où comme un enfant
Tu me dis "Je t'aime"
Que ta vie est mienne
Que tout nous ressemble
Que c'est bon de vivre ensemble
Et quand tu me dis "Viens,
Ce soir la nuit nous appartient"
Je redeviens cette femme fragile
Qui rêvait de ton île
Et tous les violons de la Terre entière
Jouent un adagio solidaire super
Sur notre histoire d'amour vécue sans faille
Sans violence ni batailles
Sentiments
Chaque soir j'attends
Cet instant sublime
Où comme un enfant
Tu me dis "Je t'aime"
Que ta vie est mienne… ».
« Quand tout nous rassemble, quand tout nous ressemble, une histoire d’amour vécue sans heurts comme au premier quart d’heure, sans violence ni batailles… »
Un rêve d’histoire d’amour.


« …je ne change pas de cible
Vous offrir le fond de mon cœur »,
Les jours heureux.
Plus personnelles, les chansons inédites qu’elle a écrites elle-même sur ce thème de l’amour :


un amour à côté duquel on est passé:
On aurait pu on aurait dû
« Je me retourne
Tu es toujours là
Le temps ne change rien
Tu fais ton chemin
Moi je fais le mien
Ma main dans ta main
J’étais comme un oiseau
Qui découvrait le monde et l’insouciance
Tu étais mon cadeau
Je n’ai pas tout compris c’était trop tôt
On aurait pu on aurait dû
Mais je n’ai pas voulu
Non je n’ai pas voulu
C’était le temps des rêves
Avant celui des regrets
Comme un cri qui s’élève
Et s’efface dans le passé
On aurait pu on aurait dû
Mais je n’ai pas voulu
Non je n’ai pas voulu
J’ai caché mes colères
Dans les tiroirs de l’oubli
J’ai rangé mes prières
Dans le grand livre de ma vie
Et les larmes n’y pourront rien changer
Je me retourne
Tu es toujours là
Puisque tu vis en moi
Le Temps fait son chemin
Adoucit nos chagrins
Et… et je n’y peux plus rien
Des milliers de questions
Ne trouveront jamais une réponse
Des torrents d’émotions
Qui s’envolent dans les nuages du temps
On aurait pu on aurait dû
Mais je n’ai pas voulu
Non je n’ai pas voulu
C’était le temps des rêves
Avant celui des regrets
Comme un cri qui s’élève
Et s’efface dans le passé
On aurait pu on aurait dû
Je n’ai pas voulu
Non je n’ai pas voulu
J’ai caché mes colères
Dans les tiroirs de l’oubli
J’ai rangé mes prières
Dans le grand livre de ma vie
Et les larmes n’y pourront rien changer »,
-          Et si c’était l’ordre des chansons qui nous permettait de deviner à qui elle pense ? La chanson suivante, c’est Un Enfant c’est comme ça, après la jeunesse et l’insouciance, mais aussi le chagrin et la colère, puis les regrets et l’impossible oubli…


et l’amour qui s’est cassé:
Je n’ai plus le temps
« Ce soir il ne reste qu’un désert
Un désert qui nous ressemble
Ce soir les rôles sont à l’envers
Je déclare la guerre et toi tu trembles
Changer de rêve changer de vie
Tout effacer te mettre en marge
La saison des pluies est finie
C’est décidé je prends le large
Je n’ai plus le temps
De perdre du temps
Je n’ai plus envie
De gâcher ma vie
J’étais aveuglée envoûtée
Tu as bien su en profiter
Je n’ai plus le temps
De perdre du temps
 Je n’ai plus envie
De gâcher ma vie
J’étais esclave et maltraitée
Il n’y a pas d’amour sans respect
Ce soir avec tes faux airs d’hidalgo
Tu voudrais donner le change
Ce soir je remets les compteurs à zéro
Même si ça te semble étrange
L’arrache-cœur n’arrache plus
Les mots s’envolent le rêve passe
L’étoile d’or a disparu
Ne vois-tu pas que tout se casse
Je n’ai plus le temps
De perdre du temps
Je n’ai plus envie
De gâcher ma vie
J’étais aveuglée envoûtée
Tu as bien su en profiter
Je n’ai plus le temps
De perdre du temps
 Je n’ai plus envie
De gâcher ma vie
J’étais esclave et maltraitée
Il n’y a pas d’amour sans respect
J’étais esclave et maltraitée
Il n’y a pas d’amour sans respect ».
Intimiste, tel le titre du spectacle du 18 octobre 2015 au Trianon… elle nous offre là peut-être la meilleure chanson des douze titres de l’album, que l’on retrouvera, bien sûr, au fil de chroniques futures.

Fin



1 commentaire:

  1. Après avoir vu un message sur Internet de Jenna des États-Unis expliquant comment elle avait été aidée par le Dr DAWN, j'ai également décidé de le contacter pour obtenir de l'aide car je n'avais pas le choix, tout ce que je voulais, c'était que je retrouve mon amant et le bonheur. À ma plus grande surprise, mon amant est rentré à la maison à genoux pour que je trouve une place dans mon cœur pour lui pardonner, j'ai été vraiment étonné et choqué quand mon amant s'est agenouillé pour demander pardon et que je l'accepte en retour. Je suis vraiment à court d'expressions, et je ne sais pas jusqu'à quel point vous transmettre mon appréciation, Dr DAWN. Tu es un Dieu envoyé pour restaurer une relation brisée, Et maintenant je suis une femme joyeuse. ses coordonnées sont Whatsapp +2349046229159.
    dawnacuna314@gmail.com

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