mardi 29 septembre 2015

Michèle Torr, intimité et confidences…

Michèle Torr chante sa famille (suite).


 « Tu vois cet homme à qui je pense …c’est lui »,
C’était toi,  2008.
Mais lui, qui est-ce ?

Est-ce celui à qui elle s’adresse dans A mi-vie en 1993 ?
« Et celui qui me dit
« Ne va pas prendre froid »,
Celui que j’espérais
Que je n’attendais pas
Est-ce que c’est toi
A mi-vie
Là où je suis ? ».
Dans Si je t’aime ?
Celui dont le nom apparaît parmi les choristes de La prière sévillane ?


Pourtant c’est un autre qu’elle épouse en février 1995 au moment de la sortie d’A nos beaux jours.
Ou bien celui-là, à qui elle fait des reproches dans Tes silences, en 1997, dans l’album Seule dont elle a (co)signé la moitié des textes ?
« Rien de ce qu’on écrit
Ne ressemble à ma vie… »,
Seule.
Alors c’est elle-même qui écrit :
«Un mouchoir je trouve plus mes lunettes noires
Pour cacher les blessures de tes armes
Et je me fous que les gens voient mes larmes
Ne suis-je pas faite comme toutes les femmes ?
Arrête tes silences…
Des couloirs bien trop longs égarée
J’ai pas le trac je cherche le plateau B
Notre histoire en direct une télé
Seras-tu là pour me regarder ? »,
Celui à qui à la fin de Seule elle dit :
«Je suis une femme seule
Entourée mais si seule
Et dans ma tour d’ivoire
Entre mariages et deuils
Toujours un peu plus seule
Et tu reviens pas »,
Et « Allez, viens… », à la fin de Tes silences.
Et sa vie doit bien ressembler à cela.
Celui que, après un divorce, elle finira par retrouver au bout de Toutes ces nuits (2008).


« Toutes ces nuits
A ne penser qu’à toi
Toutes ces nuits
Tu es là… ».

« Mensonge ou vérité ? » (Seule).
Une de ses chansons les plus… intimistes.
©ED et GD.


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire