jeudi 24 décembre 2015

Michèle Torr, Chanter c’est prier, un conte de Noël.


 C’est une année en forme de conte de fées que nous venons de vivre, effarés rimbaldiens qui n’ont le droit que de regarder de loin, enfants de la rue ou des campagnes, petits garçons, petites filles aux allumettes attendant qu’une Cendrillon à la voix d’or ou qu’une étoile descende.
Une première allumette craquée et nous voilà dans une grande salle aux sièges de velours rouge. Nous sommes à Paris qu’un attentat vient de meurtrir, à l’Olympia qui s’enflamme pour Amour, toujours, le premier spectacle de l’année que la chanteuse vient nous offrir.
« Devant les synagogues, les mosquées, les cathédrales », elle en appelle à la tendresse et elle chante, Je ne veux chanter que l’amour, Tout l’amour du monde, Ils s’aiment, et alors, Je ne veux que toi


Une deuxième allumette s’embrase et nous voici au cœur de l’été, quelque part sur la place d’un petit village de Provence, entre Berre l’Etang  et Sénas, pour fêter avec la chanteuse, pas très loin de là où elle a appris à chanter, sous la musique de son professeur de chant, ses 50 ans de chansons. On y a bu, dans l’air brûlant du Sud, à la coupe sainte, voyagé de Courthézon jusqu’à Séville, et  jusqu’au bout du monde. Mais là, en Provence, elle s’est aussi muée en dame de charité pour quelques dates éparses, du côté de Pertuis ou de Salon-de-Provence, pour la Sep Pays d’Aix ou pour le Blé de l’espérance, au profit des enfants malades de l’hôpital…

Une troisième allumette flambe et nous voici de retour à Paris, dans un théâtre idéal, d’or et de velours, un café concert imaginaire, pour un spectacle intimiste où vont se succéder les gosses et les femmes de Paris, réincarnés par une chanteuse inspirée qui sera tour à tour une femme séparée de son homme par la guerre, ou bien trahie, abandonnée par lui, ou encore une star du music-hall, une diva, un ange  rouge et noir, affublé de plumes multicolores, de strass et de paillettes, qui a chanté pour nous faire pleurer autant que pour nous faire rire.


Une troisième allumette flambe et nous voici de retour à Paris, dans un théâtre idéal, d’or et de velours, un café concert imaginaire, pour un spectacle intimiste où vont se succéder les gosses et les femmes de Paris, réincarnés par une chanteuse inspirée qui sera tour à tour une femme séparée de son homme par la guerre, ou bien trahie, abandonnée par lui, ou encore une star du music-hall, une diva, un ange  rouge et noir, affublé de plumes multicolores, de strass et de paillettes, qui a chanté pour nous faire pleurer autant que pour nous faire rire.


Une quatrième allumette et nous voilà sous la voûte d’une cathédrale ou d’une église, où la chanteuse prie comme elle chante, à tire d’aile et en plein ciel, des chansons de Noël et des prières, pas forcément pieuses, pour faire sa profession de foi et d’amour, d’amour des enfants, tel celui qui demeure vif en chacun de nous, d’amour des autres, d’amour fraternel, d’amour universel, quand on n’a plus que ça…
Alors maintenant, après ces quatre spectacles que la Cendrillon à la voix d’or nous a offerts tout au long de l’année, petits bonheurs tout en pleurs sur le bord d’un fossé, on n’a plus qu’une envie, craquer à la fois toutes les allumettes qui nous restent pour continuer de voir une étoile splendide illuminer nos nuits, et que cela dure bien au-delà du seuil de l’année nouvelle…

Beau Noël à tous...

©ED et GD.


dimanche 20 décembre 2015

La voix de Michèle Torr remplit la cathédrale.

 



 



 






par    Bertrand Urban.
 20 DÉCEMBRE 2015

Une interprétation puissante et juste.
Une voix qui remplit la Cathédrale Saint-Etienne de Sens ce samedi 19 décembre : C’est Michèle Torr qui chante des prières et des morceaux choisis en respect du lieu. Pour la première partie, la Cathédrale se réchauffe avec des grands airs de musique classique interprétés par Eve. Après ce moment haut perché, Gérard Vermont déroule une partie de son répertoire devant un public qui le connait et l’apprécie.
Pour accompagner la voix puissante de Michèle Torr, l’orchestre du jovinien Mathieu Chocat… Et oui, l’Homme à l’accordéon dispose de nombreuses cordes à son arc… Il dispose notamment d’un Studio d’enregistrement dans lequel il accueille le plus grands pour des enregistrements qui entreront dans la postérité… sans aucun doute.
Face à Michèle Torr, mes 3 enfants subjugués
Henry 4 ans, Louis 3 ans et Lou 1,5 ans sont restés assis sur une chaise d’église pendant 1H30… Sages ou subjugués ? un peu des deux sans aucun doute !

http://yonne-media.fr/20

mercredi 16 décembre 2015

Michèle Torr, Chanter c’est prier, Aix-en-Provence et Bergerac.


Je vous salue, Michèle!

      Chanter c’est prier,  le nouveau spectacle au ton résolument intimiste que Michèle Torr propose dans sa tournée des églises et des cathédrales, a d’ores et déjà tenu toutes ses promesses… Après Aix-en-Provence, le deuxième rendez-vous s’est déroulé à Bergerac, où elle est venue plus d’une dizaine de fois grâce à la tendresse que lui voue l’abbé François Martial, homme d’église et organisateur de spectacles. C’est également dans cette région que résident des amis qui lui sont chers. Et c’est donc dans l’église Notre Dame qu’elle a pu continuer à mettre en place et tester son nouveau spectacle...C'était Noël avant Noël, dans une atmosphère printanière, empreinte de douceur et de sobriété.
Pendant l’avant-spectacle, parmi les airs de musique classique interprétés par Mathieu Chocat, Sébastien Trognon (Pierre Schmidt est venu les rejoindre après à la guitare), on aura reconnu l’air de Schubert qui a donné naissance à Dis-moi mon Dieu, la chanson que Michèle Torr a enregistrée en 1977 sur l’album J’aime.
Ensuite, après la prestation de la chorale locale (Les Petits Chanteurs d’Aix à Aix et Chœur en B, dirigé par Eric Picot, à Bergerac), c’est Michel Monaco en Provence et Thomas Hernandez en Périgord qu’on a écoutés pour quelques chansons.
     C’est avec une sincère émotion que Madame Michèle Torr s’est présentée devant son fidèle public. Tout son répertoire a été revisité et réorchestré par le talentueux Mathieu Chocat et c’est un superbe bouquet de chansons qui forme ce nouveau tour de chant aux couleurs spirituelles.
Une promesse tenue donc,
« Ce n’est pas une messe
Rien de plus que ma promesse… »,
Chanter c’est prier,
qui s’achève, après l’intense émotion  qu’a suscitée La prière de Francis Jammes et Georges Brassens, avant l’hymne provençal Coupo Santo et Emmène-moi danser ce soir par la version française du très bel Alléluia de Léonard Cohen qui clôt admirablement le spectacle. 


    Pour le reste, les « classiques » que Michèle Torr a choisi de garder: Midnight Blue en Irlande par son atmosphère, J’en appelle à la tendresse, A mon père et Un enfant c’est comme ça, particulièrement prenant, s’insèrent parfaitement dans le tour, par les messages qu’ils colportent et les thèmes qu’ils abordent : l’amour des autres et l’enfance, thèmes aussi évoqués dans les chansons qui leur font écho : Tout l’amour du monde…
« Tout l’amour du monde est dans cet instant
Comme une communion une envie de partage
Tout l’amour du monde dans un seul instant
Comme un signe divin un cadeau un message… »,
Quand on n’a que l’amour (de Jacques Brel à cappella et sans micro) ou Je ne veux chanter que l’amour.
« J’ai chanté l’amitié
J’ai chanté la colère
J’ai parlé de la paix
Mais aussi de la guerre
Dans les plus grandes salles
Même dans les cathédrales
Du bout du monde… ».
L’amour est bien le dénominateur commun à ces chansons. Amour des autres, amour des enfants, amour de Dieu.
     Pour les chansons pieuses, Michèle Torr a commencé par le Notre Père que Didier Barbelivien lui a mis en musique en 2011, enchaîné avec Douce nuit puis l’Ave Maria  de Charles Gounod (à Aix seulement), présenté sa version sobre mais fervente de Amazing grace : Quand vint la grâce.
     Elle a rendu hommage à Sœur Emmanuelle avec Son paradis c’est les autres, juste après qu’elle a traversé l’église en interprétant J’en appelle à la tendresse, venant ainsi une première fois à la rencontre de ses fidèles. Et il est évident que des titres comme celui-ci ou Quand vint la grâce résonnent bien mieux dans une église que dans un théâtre ou un Music-Hall. 


Mais c’est décidément le répertoire de la chanson « réaliste » qui convient à Michèle Torr, et c’est celui-là qu’elle a encore envie d’explorer depuis longtemps déjà. Après Je suis seule ce soir de Léo Marjane et Si je n’avais plus d’Aznavour au Trianon en octobre dernier, on se rappelle Les roses blanches de Berthe Silva à l’Olympia en 1980 et on retrouve là Mon ange, de Bruno Coquatrix, aussi créé par Léo Marjane, que Michèle Torr avait enregistré en 1968.
Pour ce qui est des « inédits » dans son répertoire, elle a donc choisi Douce nuit, La prière
« Par la mère apprenant que son fils est guéri…
Je vous salue, Marie »,
Alléluia, et le magnifique Noël de la rue d’Edith Piaf qui nous emporte quelque part entre la parfois triste réalité et l’univers poétique des Effarés d’Arthur Rimbaud  ou féérique de La petite fille aux allumettes de Hans Christian Andersen, le temps d’une chanson qui lui va comme un gant, ou comme la belle et sobre robe noire dont la chanteuse est vêtue, sous le manteau de neige dont elle s’est défaite assez vite, tant la profondeur de sa voix, encore plus grave et incandescente, telle une braise enfouie, parvient à nous réchauffer. Celle-ci aussi, ne faudra-t-il pas la garder, même bien après Noël ?
« Pourquoi rêver d’un paradis
C’est maintenant et c’est ici
Qu’il faut unir
Nos espoirs et nos joies
On dit « demain » on dit « plus tard »
Mais si demain c’était trop tard
Pour partager ce bonheur
Alléluia
Alléluia
Alléluia
Alléluia
Alléluia… »,
C’est avec ces paroles pour laquelle la chorale Chœur en B, déjà présente sur Quand vint la grâce et J’en appelle à la tendresse,  est venue, à Bergerac, rejoindre Michèle Torr, que s’est terminé un spectacle livré tout frais, tout chaud,
«C'est au ciel de leur vie
Une étoile endormie
Qui [serait] descendue»
par une Cendrillon à la voix d’or toujours charmeuse, et charmante…

©ED & GD.

Michèle TORR à Aix-en-Provence : « Chanter c’est prier »


Elle a fait de cette phrase une chanson et une profession de foi.
Depuis 50 ans, Michèle Torr, notre belle Provençale aux yeux d’azur et à la voix de soleil, court les routes de France et d’ailleurs en faisant ce qui est sa passion depuis l’enfance : chanter. Et elle est entrée en chanson comme on entre en religion… En dehors du fait qu’elle a deux enfants qui lui ont donné des petits-enfants et que, sortie de scène, elle les retrouve tous dans son havre de paix à Aix-en-Provence où elle a élu domicile. Aix, justement, où elle s’est produite voici quelques jours mais pas dans une salle de spectacle : la cathédrale St Sauveur ! C’est là, qu’après des centaines de récitals et de concerts, elle a décidé, pour fêter ses 50 ans de chansons (en dehors des salles qu’elle a faites à Paris), elle a donné le coup d’envoi d’une tournée originale : la tournée des églises. Inutile de dire qu’en ce soir d’une première pas comme les autres, elle qui est déjà traqueuse, l’était doublement car là, elle n’était pas sur « Le Boulevard du Rock » mais dans une ambiance très particulière, faite de recueillement, d’amour, de ferveur. D’autant que toute la famille était venue la soutenir ! Il fallait donc un répertoire adéquat au lieu.

  

Et dès l’entrée dans la nef, une entrée magnifique où Michèle nous est apparue en longue robe noire, elle nous offrait la version chantée du « Notre Père ». Sa voix, toujours ample et belle, monta aussitôt et envahit cette superbe cathédrale, lui offrant un écrin prestigieux.
La cathédrale qui était pleine, dès les premières minutes, fut sous le charme de l’une de nos plus belles voix de France et tout le concert fut ainsi, fait de petits bouts de grâce, avec un répertoire auquel elle ne nous avait pas habitués, passant de l’Ave Maria de Gounod au « Je vous salue Marie » de Brassens, de « Douce nuit » au « Noël de la rue » de Piaf, une chanson peu connue mais terriblement émouvante. Elle nous offrit aussi la version française, signée David Lelait de « Amazing Grâce » devenue « Quand vint la grâce » mais aussi, beau moment « Quand on n’a que l’amour », de Brel, a capella et sans micro…. Et une fois encore sa voix s’envola dans les cieux pour mieux nous revenir avec quelques-uns de ses succès adaptés pour la circonstance : « Un enfant c’est comme ça », « Midnight Blue », « Sœur Emmanuelle », avec, tout à coup, la voix de cette belle sainte qui jeta un frisson dans la salle,… Bref, il faudrait toutes les nommer mis citons encore, son énorme succès qui reste hélas toujours d’actualité « J’en appelle à la tendresse », l’hymne Provençal « Coupe Santo » chanté en provençal évidemment et qui fit lever la salle entière, tout comme la dernière chanson, encore une version française, du célébrissime « Alléluia » de Léonard Cohen avec lequel elle fit chanter la salle entière.

   

A noter que pour cette belle et unique soirée, deux de ses trois musiciens nous offrirent en ouverture un moment classique très intime et très beau, les Petits Chanteurs d’Aix-en-Provence, dont elle est la marraine chantèrent quelques chansons dont l’emblématique et de circonstance « Imagine » de John Lennon. On peut d’ailleurs regretter qu’ils n’aient pas chanté avec elle. Et puis, Michel Monaco vient nous offrir un joli bouquet de chansons, de Ferrat à Mick Micheyl, qui est sa marraine et à laquelle il a rendu un bel hommage, ainsi que des chansons de son nouvel album. Une belle voix pour annoncer Michèle qui d’ailleurs, a décidé de l’emmener en tournée avec elle. Belle idée car il y a à l’évidence, une belle osmose entre eux qui défendent si bien la chanson française. Ce fut une soirée magnifique de joies et d’émotions mêlées et ce fut un beau cadeau de Noël que Michèle offrit à son public et à ses fans qui s’étaient déplacés nombreux pour partager ce moment de communion avec elle.

 
Jacques Brachet. Photos Christian Servandier. Cet article a été publié dans Evasionmag rubrique Musique le 16 décembre 2015 par Jacques BRACHET.


samedi 12 décembre 2015

Michèle Torr : La tournée des églises... Chanter c'est prier.


Rendez-vous demain, à partir de 15 heures 30, en l'église Notre Dame de Bergerac.
« Comment trouver l’accord secret
Qui nous apportera la paix
Qui répondra aux « comment ? » aux « pourquoi ? »
Alors il faut chaque matin
Ouvrir son cœur ouvrir ses mains
Et faire du nouveau jour
Un Alléluia… ».

vendredi 11 décembre 2015

Chanter c'est prier : la tournée des églises. En première partie de Michèle Torr…


  A Aix-en-Provence, Lyon, Grenoble…


Michel Monaco, par Josette Perrier.
Sans doute a-t-il hérité cette "douceur berlingot" qu'il a dans la voix de ses origines méditerranéennes car c'est à Cannes qu'il est né le 11 Janvier... pour l'année, nous ne saurons pas... car comme en témoignent ses Fans sur son livre d'or "le temps n'a pas d'emprise sur lui, ni sur son cœur, ni sur son âme".
C'est dans l'Isère où il a émigré qu'il tentera de revêtir le costume de Monsieur Tout le monde... un travail, un mariage, des enfants... mais quand la PASSION brûle au fond de soi ... difficile d'éviter, qu'un jour, elle ne prenne toute la place. Sa décision devient alors sans appel: il sera chanteur même si cela doit générer sacrifices et galères.
Orchestre, animateur radio, D.J., défilé de mode, tournage de téléfilms, chanteur en solo avec, en parallèle à tout cela, la sortie de ses premiers albums.
Toujours proche des autres et désireux de faire partager son bonheur de chanter il organise des galas humanitaires, notamment au profit de l'enfance malheureuse. C'est à cette occasion qu'il va rencontrer celle qui va devenir sa marraine de scène Mick Micheyl.
On les retrouvera en 2002 sur un album commun, "De Mick à Michel", de 16 titres, distribué par Marianne Mélodie.
Il produit un spectacle du même nom, véritable "One man Show". Il sera présent sur scène à Paris où il obtient un accueil favorable qui le motive à partir en tournée.
En 2003, il décide de rechanter la chanson créée par Mick Micheyl lors du décès de Piaf "On n'est pas prêt d'oublier". Il en sortira un duo désormais inclus dans un coffret "De la Môme à Edith" devenu depuis le quarantième anniversaire de sa disparition un évènement.
Suivront ensuite de nombreux C.D. avec des auteurs-compositeurs de renom- des D.V.D. et une comédie musicale pour enfants.
En Février 2011 sortie de l'album "Michel chante Ferrat" avec des reprises et une création "Monsieur Jean" dont il écrit les paroles.


En Janvier 2013 sortie de l'album en hommage à Joe Dassin avec la complicité de Claude Lemesle. Reprise des standards de l'artiste mais aussi une chanson qu'il écrit "Salut Joe" qui va être remarquée.
-1/ par Radio Passion F.M. située en Belgique qui va lui permettre, grâce à son Fan Club de Cœur , de gagner le trophée Lucy PAUL 2015 qui lui a été remis dernièrement à Cayeux S/Mer (80), de se produire en Belgique et d'inscrire une suite sur son agenda 2016 avec, entre autres, une scène et le partage d'un beau plateau d'artistes en Mars prochain. 
- 2/ par le Fan Club International de Joe Dassin qui va le convier le 10 Octobre 2015 à chanter Joe lors du Gala de clôture du séminaire organisé pour les 35 ans de sa disparition.
2015, l'année de la reconnaissance où il fête, avec famille, amis et près de 500 spectateurs ses 20 ans de scène entouré de toutes celles et ceux qui ont sillonné son chemin... Gilles Dreux, Anne-Marie David, Jean-Paul Cara pour ne citer qu'eux.
Jean-Paul Cara, Monsieur Eurovision, avec lequel il va collaborer sur l'Album qui va sortir à l'occasion de cet anniversaire "Ca fait 20 ans" où l'on retrouve également Claude Lemesle, Pierre André Dousset, Jacky Vaubourg.
Michel écrit, lui-même, 3 titres, endossant sa casquette d'auteur souvent revêtue.   
Il va graver une ODE à son public ... public de plus en plus nombreux, véritable famille de cœur  comme il aime à le préciser, attachée à cet homme d'une sensibilité et d'une générosité rare.
Ces 20 ans lui ont conféré l'expérience et la maîtrise totale de la scène, son élégance physique et morale, son écoute, sa disponibilité sont les valeurs appréciées qui reviennent dans les témoignages des personnes que nous pouvons interroger. Il sait charmer et conquérir son public par son charisme et sa voix de velours. Qualifié de "Marchand de bonheur" il veut voir dans le fait de chanter la mission de rassembler et de faire naître un peu de fraternité et d'espérance dans le monde perturbé et incertain qui est le nôtre actuellement.
Pas étonnant donc de le retrouver pour 3 dates sur la tournée des églises, en première partie de Michèle Torr avec laquelle il a, par ailleurs, déjà partagé quelques affiches.
Une élégance et une foi semblable qui font de cette réunion un beau programme.
Michel Monaco...  un nom dont on reparlera forcément en 2016 au fil de ses projets en préparation ... qui n'a de cesse de croire en sa bonne étoile et qui à force de volonté et de travail chemine sur le chemin des artistes de talent. J.P.


A Bergerac…


Thomas Hernandez.
L’air de rien, voilà maintenant plus de dix ans que Thomas Hernandez écume le Grand Sud-Ouest. Le chanteur bergeracois, présenté comme un « crooner » dans son dossier de presse, a déjà sorti deux albums. Pour son dernier opus, intitulé « Si je chante, c ‘est pour toi », Thomas a un peu abandonné son répertoire fétiche. Pour se tourner vers des chants « empreints d’une certaine sensibilité, porteurs de messages de paix, de fraternité, de tolérance. « Des messages nécessaires en ces temps troublés », assure le jeune chanteur…
Il nous proposera donc dimanche en l’église Notre Dame de Bergerac un mini récital spécialement conçu pour être donné dans les édifices cultuels, mêlant chants religieux et chants profanes. Notamment des textes de Jean-Claude Giannada, qui viennent côtoyer des œuvres appartenant au patrimoine de la variété française.

jeudi 10 décembre 2015

Michèle Torr : La tournée des églises... Chanter c'est prier. Présentation du spectacle.


Chanter c'est prier est le titre du nouveau spectacle de Michèle Torr, qui entame à Aix-en-Provence le jeudi 10 décembre 2015, en la cathédrale Saint-Sauveur, une tournée des églises et des cathédrales qui passera par de nombreuses villes de France au cours de l'année 2016. Ce spectacle sera précédé d’un avant-spectacle, avec des extraits de musique classique, de Mozart à Debussy, de Beethoven à Ravel..., interprétés par Mathieu Chocat et son orchestre, qui accompagnera ensuite la chanteuse dans son tour de chant. Mais auparavant, et selon les villes, une première partie sera assurée par différents artistes, comme Michel Monaco ou Thomas Hernandez.... Dans son tour de chant, Michèle Torr, qui sera rejointe sur certaines chansons par une chorale locale, interprètera bien sûr quelques-uns de ses "classiques" mais surtout des extraits de son album sorti en 2012, Chanter c'est prier, qui regroupait une série de chansons "spirituelles"  qui avaient en commun d'évoquer la Foi, mais aussi des chansons d'amour et de fraternité empruntées à Obispo, Goldman ou Aznavour. Amour fraternel. Amour des autres. Avec en particulier son adaptation d’Amazing grace: Quand vint la grâce. Elle chantera aussi certains titres de son dernier album Diva, ainsi que d'autres, venus de ses disques antérieurs, car l'expression de la Foi est présente depuis longtemps dans son répertoire. Elle y ajoutera des chants de Noël pour les dates de décembre 2015, s'essaiera au classique avec Charles Gounod ou Beethoven et nous permettra de retrouver de grands auteurs compositeurs qu'elle affectionne, comme Charles Aznavour, Georges Brassens, Jacques Brel ou Léonard Cohen. Enfin, elle ne manquera pas de rendre hommage à l'une de ses "étoiles": l’amie des pauvres, Sœur  Emmanuelle. Une manière de revenir en province au plus près de son public et de lui dire "merci" pour ses 50 ans de carrière qu'elle vient de fêter à Paris à l'Olympia puis au Trianon. On devrait retrouver certains de ces titres sur l’album que la chanteuse commencé à enregistrer à Valréas, dans l’église Notre dame de Nazareth, les 3 et 4 novembre derniers.

« Le véritable amour, solide, durable, est celui qui cherche le bonheur des autres en même temps que son propre bonheur » (Sœur Emmanuelle).

Elle sera à  Bergerac, le dimanche 13 décembre en l’église Notre-Dame.
A Grenoble, le 17 décembre, église Saint Jean.
A Lyon, le 18 décembre, église de la rédemption.
A Sens le 19 décembre, église Saint Etienne.
A Valréas le 20 décembre, église Notre Dame…
A Dunkerque, le samedi 23 janvier, église Saint Eloi.
A Bailleul, le dimanche 24 janvier, église Saint Vaast.
A Béziers, le vendredi 29 janvier, cathédrale Saint Nazaire.
A Villeneuve sur Lot, le samedi 30 janvier, église Sainte Catherine.
A Viviers, le samedi 6 février, cathédrale Saint Vincent.
A Sisteron, le dimanche 7 février, cathédrale Notre dame des Pommiers.
A Lons le Saulnier le 13 février, église des Cordeliers.

A Belfort le 14 février, église Saint Joseph…

mercredi 9 décembre 2015

Michèle Torr : La tournée des églises... Chanter c'est prier.


Rendez-vous demain à Aix-en-Provence, en la cathédrale Saint-Sauveur, à partir de 19 heures 30.
« Pourquoi rêver d’un paradis
C’est maintenant et c’est ici
Qu’il faut unir
Nos espoirs et nos joies
On dit « demain » on dit « plus tard »
Mais si demain c’était trop tard
Pour partager ce bonheur… »

mardi 8 décembre 2015

Michèle Torr : La tournée des églises... Chanter c'est prier. Présentation de la formation musicale.


Chef d'orchestre et arrangeur : Mathieu Chocat.


A la guitare sèche et électrique : Pierre Schmidt.


Au clavier, saxophone et flûte : Sébastien Trognon.

A la technique générale : Steve et Rhani.
A la technique son : Vivien.
A la technique éclairage : Guillaume.


Et au chant, Michèle Torr !
(Merci à Platine d'avoir choisi notre photo pour illustrer la critique du spectacle du Trianon!)

Mathieu CHOCAT, chef d’orchestre et arrangeur de la tournée des églises : Chanter c’est prier, est né le 16 Avril 1976 à Joigny (89).Il a commencé la musique à 7 ans au saxo puis à l'accordéon à partir de 12 ans. Il a eu comme professeur l'illustre Armand LASSAGNE. Voici les propos qu’il a tenus lors de l’interview qu’il a accordée à la radio Bergerac 95 le samedi 21 novembre:
 « J’ai commencé la musique à 7 ans, parce que mes parents ne savaient pas quoi me faire faire, c’était  soit de la musique, soit du foot. J’ai toujours eu horreur du foot. J’ai donc commencé à jouer dans une petite fanfare, au clairon et, pour la petite anecdote, au bout de six mois, le chef de la fanfare convoquait mes parents pour leur dire que j’étais mauvais et nul et que je ne serais jamais musicien. J’ai donc commencé chaotiquement  et puis la suite a été plus heureuse pour moi.
J’ai rencontré Michèle il y a un an. C’est une femme très pieuse qui a voulu depuis longtemps chanter dans les églises et les cathédrales mais qui n’en a jamais eu l’occasion. On a exaucé son désir avec la production, alors il a fallu adapter la sonorisation et les arrangements parce qu’on ne chante pas dans une église avec une batterie ou des cuivres, avec une grosse formation. C’est très compliqué au niveau du son. La production a investi dans une grosse sonorisation multi-diffusion et peu importe où les gens seront assis, ils entendront toujours pareil. C’est une vraie prouesse de la part des techniciens d’avoir fait ça et cela nous promet un beau concert. On a travaillé les arrangements des chansons  avec Michèle qui nous a fait part de ses souhaits. On a essayé de s’en rapprocher le plus possible pour qu’elle soit le plus à l’aise et que les musiciens prennent aussi du plaisir pendant le spectacle.
Nous serons trois musiciens, je serai donc au piano, il y aura Pierre Schmidt à la guitare sèche et électrique et Sébastien Trognon, au deuxième clavier, qui fera l’habillage des morceaux, le saxophone et la flûte. Avant le spectacle, nous proposerons un florilège des plus grands thèmes classiques que tout le monde connaît et qu’on va interpréter en accueillant le public.
Michèle Torr est une grande professionnelle qui ne vit que pour son métier et pour son public. Ce sont ses admirateurs qui comptent avant tout et elle souhaite vivre dans ce nouveau projet une certaine osmose avec eux. Il y aura beaucoup de dates dans cette tournée des églises qui nous fera voyager un peu partout en France ».
« Je continue, avec les musiciens et les techniciens, à accompagner quelques artistes comme Dave, Isabelle Aubret, Phil Barney, Nicoletta, Christian Delagrange et Linda de Suza, qui fête son retour et que vous avez pu revoir sur le canapé rouge de Drucker dimanche dernier…» nous a-t-il par ailleurs précisé.

©GD & ED.

lundi 7 décembre 2015

Michèle Torr : La tournée des églises... Chanter c'est prier.


Voici ce qu’a dit Michèle Torr à Philippe Bastide lors de l’interview qu’elle lui a accordée le samedi 21 novembre sur Bergerac 95 de Chanter c’est prier, sa tournée des églises et des cathédrales qui débutera à Aix-en-Provence le jeudi 10 décembre 2015.

Ph. B.- Et puis l’année 2015 est riche puisqu’il y a cette tournée qui va passer par Bergerac mais vous avez fêté également l’anniversaire de vos cinquante ans de carrière avec deux spectacles différents à Paris, il y a quelques semaines maintenant…
M.T.- Oui, tout à fait. J’ai fait l’Olympia en janvier puis le Trianon dernièrement. Des spectacles différents, avec un tour de chant différent, des musiciens différents, et maintenant il va y avoir la tournée des églises, avec des chansons et des musiciens encore différents, un autre tour, encore beaucoup plus intimiste, sans batteur, quelques chansons de Noël et d’autres chansons comme Mon ange par exemple, une vieille chanson de Bruno Coquatrix, et d’autres encore que je pouvais me permettre de chanter dans une église…
Ph B.- C’est avec plaisir que nous vous accueillerons le dimanche 13 décembre en l’église Notre Dame de Bergerac…
M.T.- Venez nombreux surtout… 
Ph B.- Nous serons là. Et avec la tournée Chanter c’est prier, est-ce qu’il y a d’autres projets pour Michèle Torr, l’enregistrement de l’album de ce spectacle peut-être ?
MT.- Tout à fait, on a commencé à enregistrer déjà dans une église et on va continuer dès les premiers jours de tournée parce que je veux enregistrer ce tour,  parce qu’il y a des chansons que je n’ai jamais chantées, des chansons que je ne rechanterai peut-être plus, et puis il y a aussi une sonorité dans les églises, une belle sonorité, particulière. Il y a ce son, et puis aussi quelque chose de très différent qui va créer une belle émotion, j’imagine. Je suis sûre que chanter dans une église ça va être très fort pour moi. J’ai tendance à dire que je chante comme je prie mais, à plus forte raison, dans l’église, je suis sûre qu’il va y avoir  une émotion encore plus grande. On sera en état de prière, de communion en tous les cas.
Ph B.- Un très beau moment en perspective, que beaucoup attendent avec impatience…
MT.- On a filmé l’Olympia, on a filmé le Trianon, on filmera les églises aussi, et puis on verra, je pense qu’on fera après, avec Jean-David Curtis, un beau DVD de l’ensemble… »

©ED & GD