dimanche 23 février 2014

Michèle Torr chante Paris


Michèle Torr « provinciale » qui n’a « pas lu Pascal » d’après la chanson Une petite Française a peu souvent chanté Paris.
« Une petite Française née en Provence
Quand elle avait quinze ans vint à Paris… » disait-elle en 1977.
Ou encore « J’arrivais à Paris par le train de nuit tu sais
J’avais dix-sept ans… » (en 1979, Ma première chanson, corrigée en 1980 à l Olympia: « …je n’avais pas seize ans… »).
Si l’on s’en tient aux titres de chansons dans lesquels la ville est nommée, on n’aura que Paris, laisse-moi vivre ma vie, en 1976, sur l’album Michèle Torr  (Je m’appelle Michèle),  qui annonce la couleur : Paris, laisse-moi vivre ma vie, alors on s’aimera…Plus tard en effet, la chanteuse quittera la région parisienne en 1987 pour s’installer en Provence, à Mérindol, au domaine du Gambelet.
Mais en 1981, sur l’album J’en appelle à la tendresse, elle chante Le blues de Paris (« Moi quand je suis loin de Paris, je me chante le blues de Paris… ») au point de venir s’installer dans les murs de la capitale, dans le seizième arrondissement, en 1999…

On l’a entendue aussi chanter Sous le ciel de Paris dans l’émission Cadence 3, de Guy Lux, en mars 1980 …

Michèle Torr chante à Paris

Michèle Torr a donc aussi chanté à Paris, de plus en plus souvent, et régulièrement, au fil de sa carrière.



Il y a eu en décembre 1964 l’Olympia, en première partie de Claude François.


 L’Olympia en 1970, en première partie d’Enrico Macias qui lui offre en prime la chanson J’ai pleuré de joie. Elle y a aussi chanté Mon ange, Menue monnaie, Tous les oiseaux reviennent, Quand le rideau est fermé…


Et l’Olympia enfin en vedette, la consécration, en 1980, du 19 février au 3 mars , à guichets fermés ; le spectacle, au cours duquel elle reprend Les Roses blanches de Berthe Silva alors que la rose qui porte son nom vient d’être créée, est capté dès les premiers jours et sort un 33 tours certifié très rapidement double disque d’or. Ce spectacle, alors que la chanteuse disait douter d’avoir un public parisien, vient en effet consacrer l’interprète d’une déjà longue série de tubes : Un enfant c’est comme ça, Une vague bleue, Cette fille c’était moi, Je m’appelle Michèle, Une petite Française, J’aime, Emmène-moi danser ce soir, Discomotion et le petit dernier, Quand un homme a du charme…



 Et l’Olympia encore en 1982, pour un mois entier, du 30 novembre au 27 décembre, soit quatre semaines dont bon nombre de dates à guichets fermés à nouveau, après les nouveaux tubes : Lui, en 1980 et J’en appelle à la tendresse en 1981, et le beau succès d’A faire pleurer les femmes sorti en août 82. Au cours du spectacle, Michèle reprend Stormy weather, enregistré en 1976 (second LP intitulé Michèle Torr, s’ouvrant sur Jezebel) crée Entrée des artistes,  La Pologne et Chanter ; le 33 tours intitulé Olympia 83 sort dès la première quinzaine de décembre 1982 et sera certifié disque de platine.


Le 14 janvier 1984. Cirque Massila, Porte de Champeret. A lieu un gala de charité au profit de Sœur Emmanuelle et surtout des chiffonniers du Caire, à qui la recette est entièrement reversée. Sœur Emmanuelle vient chanter sur scène J’en appelle à la tendresse avec Michèle Torr, qui assure à elle seule le spectacle.


 Après un projet de spectacle pour fin 85, mêlant chanson et comédie, qui ne se concrétisera pas, c’est à nouveau l’Olympia, du 20 janvier au 1er février 1987. Entre temps il y a eu d’autres tubes : Midnight blue en Irlande (album certifié or) puis A mon père en 1983, avant le succès de l’album Donne-moi la main donne-moi l’amour (disque d’or, avec La couleur des larmes et Le château des grisailles) en 1984, 20 ans d’amour (et Aventurier) en 1985, et Qui (avec Amsterdam, Le ciel s’en va…) Au cours d’un long spectacle comportant 26 chansons, Michèle Torr crée Les mots pour te dire (dont elle a écrit les paroles, en hommage à sa mère) et reprend Hymne à l’amour. Mais ce spectacle ne fera pas l’objet de la sortie d’un LP pour cause de changement annoncé de maison de disques après 14 ans chez AZ.
Avec ces trois Olympia, Michèle Torr a effectué un nombre de dates qui en fait  la record-woman des chanteuses à avoir chanté dans cette salle pour les années 80, selon le magazine Platine.
Puis l’Olympia prévu du 23 janvier au 4 février 1990, programmé à la suite des très intéressants albums I remember you et Je t’avais rapporté, suivis du 45 tours et de la compilation intitulés Argentina, est annulé pour cause de graves problèmes de santé malgré lesquels Michèle fera une apparition à l’émission Sacrée soirée, en décembre, pour rassurer son public…



C’est en productrice de son nouveau CD, Le meilleur de Michèle Torr en public, et de son spectacle que Michèle revient encore à l’Olympia du 9 au 14 janvier 1996. Entre temps, il y a eu Ne m’oublie pas et deux très beaux albums, A mi-vie (avec La prière sévillane) et A nos beaux jours, chez AZ à nouveau. Elle y chante son nouveau single, Sortir ensemble, signé Hervé Vilard et Didier Barbelivien, ainsi que Tu ne vaux pas une larme, devenu Dans le blues de l’amour; un nouveau triomphe avant de partir pour près de deux ans d’une longue et très belle tournée à la fin de laquelle elle rôde des titres de son prochain album, Seule.


Seule, à l’Olympia encore, du 20 au 25 janvier 1998. Michèle y chante les chansons de son nouvel album (Seule, Tes silences, Regarde-les, Alors je chante, Le sac, La vie tango (sur laquelle Emilie Vidal danse avec François Béretta), La fille du soleil, Tant je t’aime) qu’elle cosigne pour 5 d’entre elles. Encore un très beau succès boulevard des Capucines.

Aucun de ces deux derniers Olympia ne fera l’objet d’une sortie en CD, celui de 1996 étant en grande partie conforme au CD Le meilleur de… (qui ne comporte pas tous les titres chantés, surtout La prière sévillane, qui par ailleurs a provoqué une manifestation d’associations anti-corrida devant le music-hall). Alors comme la chanteuse regrette que le spectacle de 98 n’ait pas été capté, elle projette d’enregistrer  un concert identique au théâtre de Meaux, comme celui de 96 ; finalement, c’est une double compilation de titres enregistrés en public  intitulée Portrait de scène qui sortira en mars 1999, le jour de l’anniversaire de Charlotte Vidal, petite-fille de Michèle, qui donne son prénom pour titre à une chanson inédite,  à laquelle s’ajoutent la reprise de Je sais de Claude François, et Sur les routes.


Le double album Portrait de scène est le prélude au spectacle du Casino de Paris, prévu du 9 au 14 septembre 1999 ; le spectacle du 12 est annulé car la chanteuse est aphone. Cependant, chaque soir est annoncé un invité surprise : ce sera Carol Frédéricks le 9 (duo sur Et toute la ville en parle), la troupe de Roger Louret le 13 (pour le medley)…Michèle chante son nouveau single, Je te dis oui, crée Ne lui reparlez plus d’amour et Je ne suis qu’une femme, ainsi que Ma star à moi (signée Jean-Jacques Debout) et L’an 2000 (pas celui de 1974, sur Un disque d’amour) qui restent  à ce jour toutes deux  inédites. Sa fille Emilie vient la rejoindre sur scène pour danser comme à l’Olympia en 1998.  Elle reprend La quête de Jacques Brel, qu’elle chante à cappella. Un spectacle très riche. Mais Michèle a le sentiment d’avoir été moins à son aise dans cette salle qu’elle ne l’est à l’Olympia.


L’Olympia 2002, qui suit la sortie de l’album Donner, est d’abord annoncé du 12 au 17 novembre, raccourci à 4 jours, du 14 au 17 ; très vite complet ; il faudra ajouter deux dates, à guichets fermés aussi : ce sera début 2003, les 11 et 12 janvier. Accompagnée du quatuor à cordes d’Alexandra Cravéro, Michèle crée C’est ma première, chante les titres de Donner (J’ai donné, Comme ces pianos, L’après bonheur, Apprivoise-moi, Je ne suis qu’une femme, Ne lui reparlez-plus d’amour, Tu veux chanter en duo avec son pianiste, Eric Payan, S’en aller, Toutes les chansons ont une histoire), elle reprend La Quête a capella, Aimer est plus fort que d’être aimée (de Balavoine, nouveau single, sorti en bonus sur un Best of fin octobre) et surtout Le mots bleus, pour un moment de très forte émotion…
Le spectacle de 2003 sera le même, à ceci près que le final ne sera pas Chanson inédite, mais C’est l’amour, et Michèle Torr annonce son intention de reprendre Piaf et de revenir très vite à Paris,  à l’Olympia, pour y fêter ses quarante ans de carrière.
Le double CD, la cassette vidéo et le DVD du spectacle, annoncés par un single promo 5 titres, sortent en avril 2003, avec pour visuel le nom de la chanteuse, en lettres rouges, sur la façade du music-hall parisien.


Le spectacle Michèle Torr chante Piaf (C’est l’amour) est annoncé dès le 13 octobre 2003, jour de la sortie du Cd ainsi intitulé,  jour du quarantième  anniversaire des obsèques de Piaf et de la signature de son premier contrat par Michèle Torr, pour les11, 12  et 13 mars 2005. Finalement le spectacle n’aura ni le titre, ni le contenu initialement prévus ; certes, la chanteuse reprend Piaf ( Mon Dieu (a cappella), T’es l’homme qu’il me faut, Non je ne regrette rien, C’est l’amour) mais outre ses propres tubes, elle chante son nouveau single, C’est un message, On a toujours besoin (offerte par Henri Salvador), Un prince en Avignon (hommage à Gérard Philippe, créée par Esther Ofarim en 1969) et un inédit, Côté soleil (La couleur des mots), qu’elle a cosignée. Un livre autobiographique, intitulé La couleur des mots, sort fin mars chez Jacques-Marie Laffont.
La sortie  du double CD et du DVD seront le prétexte à deux dates exceptionnelles au Petit Journal Montparnasse, les 11 et 12 novembre 2005, occasion de reprendre aussi deux chansons de Pierre Bachelet : Ecris-moi et  Sans amour, ainsi que Pour ne pas vivre seul et Stormy weather déjà chanté à l’Olympia en 1982.


Après avoir songé à un album de reprises de chansons réalistes, c’est finalement dans le prolongement de l’immense succès de la tournée Age tendre et tête de bois que la chanteuse choisit comme titre du spectacle à l’Olympia du 10 au 13 avril 2008 Ces années-là : quelques jours après le trentième anniversaire de la mort de Claude François, elle reprend Hier est près de toi et Cette année-là, lui dédie On aurait pu s’aimer d’amour ; elle chante ses deux premiers succès : C’est dur d’avoir seize ans et Dans mes bras oublie ta peine ; dans une deuxième partie plus grave, elle reprend à nouveau Pour ne pas vivre seul, crée Son paradis c’est les autres en hommage à Sœur Emmanuelle (single l’année suivante), ainsi que C’était toi (pour lequel de ses chers disparus ?), On se reverra et Toutes ces nuits… Le double CD et le DVD du spectacle sortent en novembre, sur Internet seulement.


En 2011, du 6 au 8 mai, encore et toujours à l’Olympia, Avant d’être chanteuse marque les retrouvailles avec Didier Barbelivien qui signe la chanson du même nom ainsi que la musique du Notre Père et les paroles de Vous m’avez tout donné sur la musique des Marches du palais (traditionnel), trois titres sortis en inédits sur un Best of trois CD paru en mars. Un spectacle très riche musicalement avec une version reggae de Non à tous les garçons en clin d’œil à Gainsbourg, une très belle version orientale d’A faire pleurer les femmes, une version country de Je m’appelle Michèle (Rhinestone cow-boy, à l’origine!), avec aussi le blues de T’es l’homme qu’il me faut, la promenade sur le Boulevard du rock et la visite du Château des grisailles, les  reprises de Je te portais dans mon cœur d’Elvis Presley (sur A nos beaux jours en 1995, puis sur Ces années-là en 2008 avec pour titre Toujours dans mon cœur), des Roses blanches (comme en 1980) et du Petit bonheur de Félix Leclerc, à l’heure où le spectacle Le Retour de nos idoles se produit au Québec. Très beaux arrangements signés Eric Payan, qui signe aussi Naïs, transition entre les deux parties. Le CD et le DVD sont finalement sortis en février 2013 dans le commerce, mais avec des photos de la tournée Age tendre pour le visuel.  Déjà, on l’y entend dire: « Chanter c’est aimer, chanter c’est donner, mais c’est surtout prier »…

Le Paris de Michèle Torr
 2015




« Et je retrouve Paris sur mon chemin
Où je vis toujours ma vie et mon destin »
Quatre saisons, 1977.


2014 arrive, alors les 50 ans de carrière, c’est pour quand exactement ?
Il était possible de les fêter dès le 13 octobre 2013, date de la signature du premier contrat d’une toute jeune chanteuse de 16 ans, chez Philips, ou bien en janvier 2014, date anniversaire de la sortie de son premier disque, ou bien en décembre 2014, pour celle de son premier Olympia, en première partie de Claude François .

Comment les fêter? La réponse tardant à venir, on se demandait  « mais dans quelle salle ? »  et la réponse  était :« L’Olympia bien sûr, la salle fétiche, celle où la chanteuse se sent le mieux, où elle est venue si souvent » …Mais alors ce ne serait qu’un « Olympia » de plus…Et donc pas très innovant, pas très risqué, pas très intéressant. Il faudrait quelque chose de plus, de plus…, de plus…
Ces questions ont dû occuper l’esprit de la chanteuse, de ses producteurs…
Alors l’idée du Paris de Michèle Torr a dû germer, et grandir…

Et la réponse est venue.

D’abord quatre dates, quatre salles, quatre saisons, pour montrer que, même après 50 années de chanson révolues, la chanteuse est encore là, bien présente, dynamique, créative, en 2015. D’ici là, nous « les admirateurs », on a le droit de rêver ces spectacles, et c’est aussi cela que l’on aime. L’Admirateur peut se faire Pierrot, prendre sa plume et esquisser ce que pourrait être le Paris de Michèle Torr 2015. Sans aucune prétention, juste pour le plaisir, pour le rêve, pour l’amour…Avant de venir applaudir l’artiste, quatre fois, à Paris, en 2015.


D’abord l’hiver, en janvier, juste après l’anniversaire de celui de décembre 1964, l’Olympia bien sûr, l’Olympia s’impose… « Les années et les émotions ont façonné les murs qui en gardent la richesse. L’âme de ceux qui sont passés ici un soir se ressent dans chaque recoin, sur chaque fauteuil, à chaque applaudissement. L’Olympia est hors du temps. Porté par l’amour du métier, l’amour du public et la dévotion d’une équipe qui se transmet son savoir de génération en génération, le music-hall le plus célèbre au monde » accueillera une fois de plus la chanteuse…

-          pour le Paris d’amour, peut-être, dans la salle de sa plus belle histoire d’amour artistique, avec nous, avec ses plus belles chansons d’amour et ses plus belles chansons de scène…

Ensuite le printemps, en avril, retour au Casino de Paris, comme en 1999, Depuis 1811 où, sous le nom de Palace Théâtre, le Casino de Paris figurait déjà parmi les endroits les plus prestigieux de la capitale; jusqu’à aujourd’hui, il a accueilli sur sa scène les plus grands artistes de la chanson française : Maurice Chevalier, Serge Gainsbourg, et Mistinguett (à qui Michèle a rendu hommage dans une émission de télévision en 1987), Line Renaud, et bien d’autres…une scène où les femmes ont mené la revue…

-          pour le Paris des femmes, un spectacle où la chanteuse ferait sa revue,  parlerait d’elle, et d’ « elles ». De La demoiselle, à Je ne suis qu’une femme, en passant par  l’inévitable Emmène-moi danser ce soir, A faire pleurer les femmes, Histoire d’aujourd’hui, Les femmes dansent, Femmes du temps présent, (Même ta femme a) Des états d’âme, Seule, La fille du soleil …et même La louve. Et Michèle a aussi chanté Sur deux notes, qu’a également interprétée Joséphine Baker…
dans un beau théâtre  à l’italienne, un lieu chaleureux et propice à un spectacle acoustique…

                   Puis l’été, en juillet, où cela ? Une salle prestigieuse (Châtelet, Pleyel…) pour un spectacle élégant ; ou bien une salle surprenante  (La Cigale, Le Grand Rex…) pour un spectacle plus dans l’air du temps, plus branché ; ou bien une salle où montrer à Paris le spectacle En concert avec vous, fondé sur Chanter c’est prier…
-          pour le Paris de la vie, un spectacle qui serait un rendez-vous spirituel avec l’artiste, une petite salle intime respirant la quiétude et la paix pour un tour de chant qui évoquerait la vie (« Je te rends grâce la vie … »), la foi …Chanter c’est prier bien sûr … Et Quand vint la grâce, Mon Dieu,  La prière sévillane, Son paradis c’est les autres en hommage à Soeur  Emmanuelle, personnage qui a compté énormément pour Michèle…
Ce sera finalement le Trianon, en septembre,
 - pour peut-être un spectacle ambiance cabaret réaliste (comme pour deux ou trois chansons à l’Olympia en 2005) dans cet ancien cinéma devenu salle de spectacle au pied de la butte Montmartre, où il ferait bon l’entendre chanter la Rue Saint-Vincent d’Yvette Guibert, comme elle l’a fait lors d’un Champs-Elysées en 1989, ou bien encore Les Roses blanches de Berthe Silva…, et ainsi faire aboutir un projet évoqué en 2007…



                 Enfin l’automne, en octobre (ou un peu plus tard), le Palais des Congrès, grande salle au cœur de Paris, située entre l’Arc de Triomphe et la porte Maillot, l’endroit que l’artiste rêve depuis longtemps de venir occuper seule, 4000 personnes…

- pour le Paris de la fête, pour un spectacle populaire – terme que la
chanteuse n’a jamais renié, qu’elle a même revendiqué- qui serait plus un show, avec tous les tubes, des invités, des surprises…et qui serait l’aboutissement de ces 4 rendez –vous.

C’est sûr, quels que soient les choix encore à faire (salles, tenues, chansons, – on en espère bien sûr de nouvelles, d’inédites, on espère un album, une intégrale, un livre pour retracer la carrière de l’artiste-, …) ou déjà faits, le projet a de l’allure, du panache…Un beau pari.

Et ces quatre jours-là, on oubliera nos rêves pour entrer dans ceux de la chanteuse,

dans le Paris de Michèle…
© G.D. & E.D.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire