mardi 14 janvier 2020

Michèle Torr chante le temps…(12)


« Je n’ai plus le temps
De perdre du temps
Je n’ai plus envie
De gâcher ma vie… »,
Je n’ai plus le temps, 2019.



1979.
Le temps passe et…
« Elle joue plus la petite fille du lycée
A cinq heures elle n’a plus SLC »,
Discomotion.
« Elle est comme le vent
Sur le feu des forêts
Elle est pire que le temps
On ne l’oublie jamais
Elle est toujours debout
Au milieu de la foule
Elle te prend le bonheur
Que tu cachais si bien
Elle t’a brisé le cœur
Elle ne laissera rien
Elle emportera tout
Comme une pierre qui roule »,
La déchirance.
« On court après des instants de gloire
Après la richesse ou après le temps
Des châteaux de sable dont il reste du vent
Loin de l’aventure et c’est alors que l’on se dit
Et l’amour comme c’est immense
Et l’amour c’est toute une vie
Et l’amour d’un été d’une danse
N’a toujours aimé que la nuit »,
Et l’amour.
« Elle se fout pas mal de mon show
De la critique et du tempo
Celle qui ne me voit pas en artiste
Et que je me chanterai tout bas
Tout à l’heure dans un restaurant
Celle qui raconte ma vie à moi
Cette drôle de chanson inédite »,
Chanson inédite.
« Tous les trains sont arrivés
Les souvenirs sont restés
Et les rues ensoleillées
Attendront bien une année »,
Quand un homme a du charme.

1980.
« Tu seras chez moi vers deux heures
Je t’attendrai en bas
Et dans ta voiture tout à l’heure
On s’en ira crois-moi
Où tu voudras »,
Pendant l’été.
« Y a du slow dans mon rock
C’est la fin d’une époque
Je me souviens »,
La musique de mes idoles.
« Je pose ma tête sur tes genoux
Aucun de nous deux n’est jaloux
Je voudrais vivre cet instant
Même au-delà du temps »,
Je t’aime tendrement.
« Aujourd’hui c’est jour de pluie
Quel temps fait-il dans ta vie
Mamie réponds-moi
Répond-moi
J’habite au n°1 avenue de la solitude… »,
N° 1 avenue de la solitude.
« Les années se sont écoulées
Ils ont une fille et deux garçons
Hier s’est marié le dernier
Ça fait un vide dans la maison
Ils se souviennent de ce café
Comment ils se sont rencontrés
Aimés »,
Rencontre.
« Mon fils quand tu seras grand
Grand comme l’Amérique
Grand comme un géant
Mon fils tu prendras le temps
Tant qu’il le faudra
D’être encore l’enfant
Pour moi
Qui se cachait dans mes bras
Oui
Qui m’appelait parfois la nuit
Rien ne sera plus comme avant
Comme
Quand tu seras un homme »,
Mon fils.


A suivre.

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