samedi 4 mars 2017

Michèle Torr à Allevard-les-Bains, le vendredi 3 mars 2017...


 Le spectacle a commencé avec Sur les routes: introduction musicale, murmure des choristes, puis la voix de Michèle Torr qui arrive sur scène un peu plus tard... Elle y retrouve, entre rock et blues, l'orchestre de Richard Gardet qui a assuré la première partie, et avec qui la complicité est manifeste.

Se sont succédés Une vague bleue, Je ne veux chanter que l'amour, Le pont de Courthézon, Mon ange, T'es l'homme qu'il me faut, Lui, J'en appelle à la tendresse, A mon père, Discomotion, Le petit bonheur, La quête, Emmène-moi danser ce soir, J'aime, Et toute la ville en parle, Un enfant c'est comme ça,  Je m'appelle Michèle, Qu'est-ce qu'ils disent, Halléluja et, pour finir, La couleur des mots.


Avenante au moment de rendre hommage à C. Jérôme, Edith Piaf ou Jacques Brel, Michèle Torr était en forme, en symbiose une  formation musicale qu'elle retrouvait avec bonheur et avec le public. Les chansons intimistes pour lesquelles la voix de la chanteuse se suffisait à elle-même (dont La Quête, interprétée avec maestria a capella et sans micro, ou Halléluya, de Léonard Cohen) alternaient avec des titres plus rythmés, magnifiés par des orchestrations dont le ton jazzy était donné par le guitariste et le bassiste. Si on retrouvait presque tels quels les tubes comme Emmène-moi danser ce soir ou J’en appelle à la tendresse, en écoutant Lui, par exemple, complètement revisité, on était proche de l'atmosphère d'un spectacle de Véronique Sanson...
Les fidèles ont retrouvé la Michèle Torr qu’ils aiment tant et un nouveau public, plus jeune, a été surpris et conquis par ce nouveau spectacle.

(Merci à nouveau à Lionel, de Radio Aix, pour nous avoir confié ses impressions).

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