samedi 30 janvier 2016

Tristesse de l’Admirateur : où est son étoile ?


                             L’Admirateur est triste ces jours-ci. D’un premier rendez-vous il avait déjà dû faire le deuil dès l’automne, et du second, à V.S.L., encore, il y a quelques jours… Celui-ci n’est pas annulé, lui dit-on, reporté seulement… Mais est-ce bien vrai ? Et à quand ? Alors il se console en écoutant quelques mots,  quelques notes, où il est question de pianos, de violons, de symphonie, et puis d’harmonie… Pour se consoler.

« Quand le clown est triste
Il cherche des yeux le cœur d’un piano… »,
Entrée des artistes, 1982.

« Ecoute le piano
Ecoute ce que la musique dit… »
La vie la nuit, 1995.

« Un vieux piano mécanique
Garde au cœur de son rouleau
La rengaine nostalgique
Que chantaient Juliette et Roméo…
 J’aime écouter la musique
Du vieux piano d’autrefois
Quand il devient diabolique
Pour chanter Samson et Dalila… »
On s’aimera un peu, beaucoup, 1970.

« Cet air  vieillot
Ce  vieux piano
Tout nous fait rire rire… »,
Est-ce mon cœur ou le printemps, 1970.

« Elle ne se joue pas au piano… »
Chanson inédite, 1979.

« Tous les jeudis après-midi
Je venais là au cours de chant
Et le piano du professeur
Remplaçait à lui seul mes jouets d’enfant… »
Le cours de chant, 1978.

« Quand l’automne prend ses couleurs
Qu’un piano joue en mineur… »
Je suis love, 1988.

 « Et piano va l’amour
Passe le temps
Et piano va l’amour
Toujours plus grand… »
Et piano va l’amour, 1973.

« Jouer sur un piano
Un adagio d’Albinoni… »,
Les choses de la vie, 1987.

« Les nuits ne sont jamais les mêmes
Quand je m’assieds sur le piano… »
Le bistrot, 1979.

 « Dans le ghetto y’a Léo
Qui va mourir au piano… »,
Le ghetto, 1981.

« Une photo sur le piano
Me rappelle un amour qui me fait tant pleurer 
Je n’oublierai jamais
Combien je t’aimais
Il m’en faudra du temps
Pour ne plus y penser… »
Je n’oublierai jamais, 1977.

 « Et moi je suis de ce pays
Où les femmes ont le cœur beau comme un fruit
Où elles pleurent divas divines
Des larmes de bonheur romantiques féminines…
Et moi je suis comme ces pianos
Qui pleurent de nostalgie
Sans dire un mot
Moi je suis de Mayerling
La dernière héroïne… »
Romantique féminine, 1983.

« Je suis comme ces pianos qui pleurent
De nostalgie
Qui pleurent… »,
Comme ces pianos, 2002.

  

 « Je me sens comme une mélodie d’automne
Que les violons font pleurer
Tu m’oublies tu m’abandonnes je n’ose plus rêver…
Comme une mélodie d’automne, 1978.

« Il joue encore avec amour la ritournelle
Sur un violon petit violon
Mal accordé… 
La ritournelle de son violon magique
Résonne encore comme s’il jouait pour moi…»
La ritournelle, 1973.

 « Mais aujourd’hui elle a séduit
Tous les violons du monde
La mélodie des premiers jours
Des premières secondes
De ces premiers instants
Où l’on se cherche
Où l’on découvre
Que l’on s’aime
Où l’on a pour le dire
Qu’une chanson
Ce n’était qu’un refrain
De quatre sous de quatre notes
Sur quatre mots de tous les jours
Mais c’est tout notre amour… »
Notre chanson, 1969.

« Quand tous les violons parleront en silence
Quand toutes mes passions
Deviendront des romances
Quand le soleil de novembre
Brûlera mes dentelles
Je serai seule à entendre… »
Un amour qui m’appelle, 1985.

 « Vous c’est un violon qui joue en souvenir
Vous c’est une moitié de nous qui peut mourir… »
Je pense à vous, 1988.

 « Toi et moi
C’est Vivaldi
La comédia
Une symphonie… »,
Toi émoi, 1987.

 « Et tous les Mozart de la terre entière
Jouent un concerto solidaire super
Sur notre histoire d’amour vécue sans heurts
Comme au premier quart d’heure…
Et tous les violons de la Terre entière
Jouent un adagio solidaire super
Sur notre histoire d’amour vécue sans faille
Sans violence ni bataille… »,
Sentiments, 1988.

 « De qui était cette mélodie
De Pachelbel de Vivaldi
On aurait pu se croire en Italie
Et toujours cette mélodie
De Wagner ou d’Albinoni
Je l’entends quelquefois après minuit… »,
Mélancolie femme, 1981.

« Et ça joue du Mozart
Roll over Beethoven…
Ils ont l’âme de Wagner
De Billie de Jagger… »
Mes amis musiciens, 1983.

Parmi ces chansons, on remarquera que Guy Mattéoni en a arrangé beaucoup, mais a aussi composé Mes amis musiciens, Romantique féminine, Un amour qui m’appelle, Je suis love, Je pense à vous…

 « Où est ton étoile
Où est ton étoile
Toi qui chantes les fleurs du mal en symphonie
Toi qui es piano
Toi qui sais les mots
Toi qui es dans cette vie
Un passant génial…
Sur quelles mélodies
Rêves-tu la nuit ?
Quelle musique ! Merci.
Sur quelle harmonie
Vois-tu la vie,
Quel accord choisi ?
…Au cœur des studios
Le ciel est si beau
Tout est en harmonie quand tu te réveilles… »
Où est ton étoile, 1988.

 « Et si ce soir devant vous
Je suis là
Cela ne tient qu’à vous
Qui avez fait de moi
Diva
Votre diva
Avec mon habit noir entre fille et garçon
Un peu rock et guitare au milieu des violons… »,
Diva, 2014/2015.

« Il y a
Comme une harmonie
Quand tu souris… »,
Harmonie, 1997.

« Les choses de la vie sont une symphonie
Le jour et la nuit sont en harmonie
Tout est beau jusqu’à l’infini
Malgré ce monde en folie… »
Les choses de la vie, 1987.

« La vie est une symphonie
Chacun de nous en fait partie
Ensemble il faut chanter
O Alléluia
Alléluia
Alléluia
Alléluia »,
Halléluja, 2016.


En attendant Tout l’amour du monde




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