Et bien sûr Michèle Torr chante encore… l’amour.
« A l’aube d’un nouveau jour
J’établis le bilan
Des bienfaits de l’amour
Des moments bouleversants »
Je vais bien.
Cette chronique-là (Michèle Torr chante l’amour)…
n’existe pas. Car le thème est trop vaste. On lui a préféré Michèle
Torr… chante les hommes, chante Jean Vidal ou encore Intimité
et confidences pour
reprendre les titres de deux magazines féminins très populaires dans les années
70 et 80.
Parmi la multitudes
de chansons sentimentales qu’elle a interprétées sur ce thème de l’amour, elle
a choisi de reprendre La grande chanson,
« La chanson que tu m'avais chantée
Quand on s'est rencontrés un soir d'été
Ce n'est rien qu'un tout petit refrain
Mais pour moi il devient
La grande chanson
Et tant pis si ceux qui nous entendent
Ont souri sans avoir pu comprendre
Que cet air, cet air de rien du tout
Sera toujours pour nous
La grande chanson
Sur cet air j'ai dansé dans tes bras
Pour la première fois, rappelle-toi
Et depuis qu'elle nous a unis
C'est ma meilleure amie
La grande chanson
Ce n'est pas un merveilleux poème
Mais pour moi ce sont les mots que j'aime
C'est pourquoi jusqu'à la fin des jours
Je chanterai toujours
La grande chanson
La grande chanson »,
en toute simplicité,
plus littéraire et
lyrique, quand la diva divine
s’aligne avec les héroïnes des plus beaux romans sentimentaux, Sarah Woodruff, Catherine
Earnshaw, Mademoiselle de Chartres épouse de Clèves, Emma Rouault épouse
Bovary, Scarlett O’Hara épouse Butler ou Maria Vetsera, qui ont pour la plupart
contracté un malheureux mariage avant de trouver l’amour (et les larmes)
ailleurs: Romantique féminine,
« La maîtresse du lieutenant français
Ne savait plus ce qu'elle lisait
Et sur les Hauts de Hurlevent
Aucun fantôme ne l'attend
La princesse de Clèves en mourait
De ses amours à l'imparfait
Madame Bovary s'en moquait
Scarlett O'Hara en pleurait
Et moi je suis de ce pays
Où les femmes ont le cœur
gros comme un fruit
Où elles pleurent diva divine des larmes de bonheur
Romantique féminine
Et moi je suis de ce temps-là
Où le chagrin était comme un lilas
Où les hommes rêvaient de nous
Bien trop sentimentales et eux tellement jaloux
Le romantisme au féminin
C'était un baiser sur la main
Quand George Sand aimait Chopin
En prose ou en alexandrin
Et moi je suis comme ces pianos
Qui pleurent de nostalgie sans dire un mot
Moi je suis dans Mayerling la dernière héroïne
Romantique féminine
Et moi je crois aux cris d'amour
Échangés dans un parc au point du jour
Moi je suis de ces romans où l'homme de ma vie
Est ami et amant
Et moi je suis de ce pays
Où les femmes ont le cœur
gros comme un fruit
Où elles pleurent diva divine des larmes de bonheur
Romantique féminine »,
et Sentiments.
« Sentiments
Chaque soir j'attends
Cet instant sublime
Où comme un enfant
Tu me dis "Je t'aime"
Que ta vie est mienne
Que tout nous rassemble
Que c'est bon de vivre ensemble
Et quand tu me dis "Viens,
Ce soir la nuit nous appartient"
Je redeviens cette femme fragile
Qui rêvait de ton île
Et tous les Mozart de la Terre entière
Jouent un concerto solidaire super
Sur notre histoire d'amour vécue sans heurt
Comme au premier quart d'heure
Sentiments
Chaque soir j'attends
Cet instant sublime
Où comme un enfant
Tu me dis "Je t'aime"
Que ta vie est mienne
Que tout nous ressemble
Que c'est bon de vivre ensemble
Et quand tu me dis "Viens,
Ce soir la nuit nous appartient"
Je redeviens cette femme fragile
Qui rêvait de ton île
Et tous les violons de la Terre entière
Jouent un adagio solidaire super
Sur notre histoire d'amour vécue sans faille
Sans violence ni batailles
Sentiments
Chaque soir j'attends
Cet instant sublime
Où comme un enfant
Tu me dis "Je t'aime"
Que ta vie est mienne… ».
« Quand tout
nous rassemble, quand tout nous ressemble, une histoire d’amour vécue sans
heurts comme au premier quart d’heure, sans violence ni batailles… »
Un rêve d’histoire
d’amour.
A suivre.
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