Les 31 mai et 1er juin 2025.
Michèle Torr en concert au Royal Palace de Kirrwiller.
"Retour en images sur le Grand Concert de Michèle Torr, qui a fait vibrer la scène ce samedi 31 mai 2025 ! 🎤
Une parenthèse musicale riche en émotions et en souvenirs partagés . ✨
Un événement présenté par Robin Leon et ponctué par des numéros d’attractions du Royal Palace 🎭
Un grand merci à cette grande voix de la chanson française pour ce moment inoubliable, et à vous, cher public, pour vos sourires, votre enthousiasme et cette belle énergie qui a parcouru la salle du début à la fin. 🎶
📸Kahneda Photography"
Olivier Bisiaux
"Je viens d avoir la chance d assister au concert de Michèle Torr à Kirwiller , je suis enchantée , quelle grande dame ! Elle a réussi à me faire verser quelques larmes tant elle transmet ses émotions , très proche de son public , bravo et merci pour ce merveilleux moment Madame ! ❤"
Anita Fetet
"Hier au Royal Palace à Kirrwiller (Bas-Rhin) excellent repas servi au restaurant Le Versailles suivi du concert avec Michèle Torr ( avec une pensée toute particulière empreinte d’émotion pour ma soeur Annette, partie il y a 18 ans et qui était une grande admiratrice ), moment de grâce avec cette merveilleuse chanteuse et l’interprétation de nombreuses chansons ( dont des titres de chanteuses telles que Edith PIAF, Nana MOUSKOURI, de chanteurs tels Jacques BREL, Félix LECLERC ou encore C.JEROME) et beaucoup d’anecdotes venant agrémenter son récital. Une chanteuse merveilleuse et d’une grande gentillesse se prêtant à une grande séance de dédicaces, de photos ! Merci infiniment Michèle !"
Jean-Louis Leblanc
Michèle Torr emmène danser le K de Tinqueux
Michèle Torr, figure emblématique de la chanson française, célèbre six décennies de carrière avec une tournée qui passera par la Marne : elle sera en concert ce dimanche 1er juin, au K de Tinqueux.
Dès ses débuts dans les années 1960, la chanteuse populaire s’est distinguée par sa voix puissante et sensible, interprétant des titres qui traversent les époques : « Une petite Française », représentée à l’Eurovision 1977 sous les couleurs de… Monaco, « J’en appelle à la tendresse », « Je m’appelle Michèle » et, son morceau le plus célèbre qui a traversé le temps, « Emmène-moi danser ce soir », écrit et composé au début des années 80 par François Valéry.
Pour célébrer cet anniversaire, la native de Pertuis a sorti, il y a deux ans, un coffret de 22 CD, regroupant la bagatelle de 465 titres ! Sur scène, Michèle Torr continue de captiver son public avec des concerts empreints de nostalgie et d'émotion, lors desquels elle interprète ses plus grands tubes et partage des anecdotes de sa carrière, créant une connexion intime avec son auditoire. Et le Kabaret de Tinqueux offrira le décor et l’ambiance idéale pour ce genre de prestation.
Simon Ksiazenicki
Michèle Torr, dimanche 1er juin, à 18 h, Le K, Tinqueux. Tarifs : de 46 à 55 €
Michèle Torr le 1er juin au Kabaret Reims-Tinqueux : « Soixante ans après, je vis toujours le même rêve »
Véritable icône de la chanson française, Michèle Torr a su traverser les époques en restant fidèle à son style. Sa voix, ses chansons sont bien connues du public qui pourra la retrouver sur scène dimanche 1er juin au Kabaret Reims-Tinqueux.
À 78 ans, Michèle Torr a conservé sa voix puissante et continue à se produire sur scène.
Publié: 28 mai 2025 à 14h35
Spectacle « Michèle Torr : une icône de la chanson française ».
Où ? au Kabaret Reims-Tinqueux.
Quand ? dimanche 1er juin, à 17 heures.
Tarifs : 49 et 55 € (seniors : 46 et 51 €).
Infos : 03 26 04 11 11 ou le-k-reims.com
Michèle Torr, c’est dur d’avoir 16 ans, mais qu’en est-il aujourd’hui ?
Pour moi, c’est magnifique. À tout âge, on apprend et on avance. C’est complètement différent mais je trouve que je suis mieux maintenant. À 16 ans, mon rêve commençait à prendre forme et, mon Dieu, grâce au public je suis devenu chanteuse. Soixante ans après, je vis toujours le même rêve. J’en ai fait ma vie de femme et c’est un autre bonheur.
Faire la première partie de Jacques Brel à 16 ans ça fait quoi ?
C’est très impressionnant. J’étais complètement bouleversée par le talent et l’émotion qu’il produisait, qu’il m’avait donnés et fait ressentir. Quand on est très jeune, on n’a pas de doute et pourtant j’ai pleuré parce que je sentais que je n’étais pas prête face à un monument comme Jacques. Les doutes sont venus en me disant que la distance qui nous séparait était trop longue pour faire ce métier.
Dans votre répertoire, quelle est la chanson qui vous représente le mieux ?
Pour moi, c’est J’en appelle à la tendresse. C’est à la fois ma préférée et elle est toujours d’actualité. D’autres de mes chansons me touchent mais pour d’autres raisons. Cette chanson correspond à ce que je ressens et à ce que je suis.
Est-ce l’amour ou la tendresse le fil conducteur de vos chansons ?
Je chante des chansons d’amour et forcément la tendresse se trouve à l’intérieur. Qu’il soit heureux ou malheureux, on en revient toujours à l’amour, mais l’amour avec un grand A.
On vous a ouvert toutes les portes, même celles de l’Eurovision. Après, peut-on garder les pieds sur terre ?
Ça dépend peut-être de chacun mais, en ce qui me concerne, oui ! Je suis quelqu’un de lucide et l’Eurovision ça a été énorme avec un trac monstrueux, surtout la première fois. J’étais très jeune et je me disais ou je deviens grande vedette ou je suis foutue. En fait, il y a plein d’artistes qui n’ont pas gagné et, cette année encore, Louane a fait une prestation magnifique. Cette chanteuse est exceptionnelle, j’en ai eu la chair de poule et elle m’a vraiment touchée. Ce qui est impressionnant c’est qu’il y a des millions de personnes qui regardent et on se doit de les respecter.
Pour vous l’Eurovision c’était le Luxembourg et Monaco, pourquoi pas la France ?
C’est une demande faite par les éditeurs donc je ne sais pas pourquoi.
Qu’est-ce qui a régi votre vie ?
C’est le public et ma famille, en fait ce sont mes deux familles. Quand je rentre sur scène avec le public je suis en communion. Je donne de ma personne mais je reçois tellement.
Je pense qu’il ne faut pas s’arrêter d’avoir des envies. J’aime voir les gens, bouger, parler avec eux, c’est une preuve qu’on est toujours en vie »
Qu’allez-vous proposer au Kabaret ?
Je pense que le public attend mes tubes et j’essaierai de faire plaisir aux gens mais je leur réserve quelques reprises d’autres artistes. Emprunter des chansons à d’autres artistes c’est aussi une façon de me faire plaisir.
Comment avez-vous ressenti l’expérience de la tournée Âge tendre ?
C’était une idée géniale du producteur que de réunir tous ces artistes qui ont débuté à peu près en même temps. Ils ont su donner du plaisir au public et là, avec ces milliers d’applaudissements, ce plaisir nous est retourné. Je parle pour moi mais je pense que les autres artistes ont la même vision celle du bonheur. On aurait même pu dire que c’était comme des vacances. On était encadrés pour chanter devant 5 000 ou 10 000 personnes, ça vous donne une sensation extraordinaire.
Concernant votre livre « La couleur des mots », quelle signification donnez-vous à ce titre ?
Quand j’étais enfant, je donnais des couleurs aux mots c’était une sorte de toc. Bien sûr maintenant je ne le fais plus. Je comptais mes pas, j’additionnais des choses à l’envers et quand les gens parlaient je donnais des couleurs aux mots. Ça amusait mes parents à part ça, je ne saurais pas l’expliquer.
Vous avez un attachement particulier pour le Québec ?
J’aime beaucoup les Québécois et eux me le rendent bien. Je rentre d’ailleurs de là-bas et je suis encore sur un petit nuage. J’ai d’ailleurs un projet de faire une tournée au Québec. J’y suis allé dernièrement pour une émission qui fêtait ses 30 ans, il y avait 8 000 personnes pour vous applaudir et ça c’est grisant.
Soixante ans de carrière, qu’évoque la retraite pour vous et que peut-on vous souhaiter ?
Pour moi c’est hors de question. C’est un mot que je n’aime pas mais je peux comprendre que des personnes ayant travaillé toute une vie puissent aspirer à d’éventuels voyages, du repos ou tout type d’autres idées qu’ils n’auraient pas pu faire pendant leur carrière. Personnellement, je pense qu’il ne faut pas s’arrêter d’avoir des envies. Tant qu’on a l’envie, c’est magnifique. J’aime voir les gens, bouger, parler avec eux, c’est une preuve qu’on est toujours en vie.
l'union.fr
Cet après-midi, quelques représentations avant que la salle ne déménage, le K accueillait la petite française née en Provence.
Après le succès du Royal Palace hier, Michèle Torr conviait les Rémois à ses plus jolis refrains…
Ah bon? Mais Zut.. y’a pas de pont à Courthézon!
Après avoir évoqué quelques souvenirs du Québec, nous avons été emportés une nouvelle fois par une belle « vague bleue » et nous avons crié « j’en appelle à la tendresse » avant de déclarer avant d’aller danser : Michèle, on t'aime !
A. Di Barco
"Un bel après midi au K avec Michèle Torr"
Narine Pigeon.
"J’y étais j’ai fait la route depuis NANCY !!! Des étoiles plein les yeux ma jeunesse !!! Bravo l’artiste !!!"
Marie France Barcik