Michèle Torr chante sa famille(suite).
« Aujourd’hui
les enfants ont grandi
Mais pas leur
maman…
Etrange
mélange
Cette vie de
ne pas vous quitter
Et toujours ce
besoin de partir… »
Comme
ces pianos, 2002.
On a beau être
grand, il y a des moments où l’on se sent tout petit.
« Qui me
prendra
Comme une
enfant… »,
Qui,
1986.
« Sans ma
maman je donne docile
La main à la
mélancolie…
On ne me vole
pas mon enfance… »,
Apprivoise-moi,
2002.
Alors on
retombe en enfance, cette période qui nous inspire plus de nostalgie…
…qu’elle ne
nous rappelle de mauvais souvenirs :
«Ah ! mon
Dieu qu’il était grand
Mon ami
l’océan
Dans tes rêves
d’enfant
Parfois
les rires et les peines
S’en vont et
puis reviennent
Pour les
enfants qui s’aiment… »,
Le
voyage en bateau, 1984.
« Chanter
Parce qu’on
est une enfant mal aimée »,
Chanter,
1982.
« …c’est
l’impression qu’on a le soir
D’être enfermé
dans le dortoir
Des
orphelins »,
L’après-bonheur,
2002.
L’enfance
c’est le temps de l’amour…
« Elle
court elle court
La maladie
d’amour
Dans le cœur
des enfants
De 7 à 77
ans »,
La
maladie d’amour, 1998.
« Tu
m’avais dit…
On s’aimera
comme deux enfants au soleil
Deux enfants
fous »,
Le
ciel s’en va, 1986.
…où l’on rêve…
d’amour :
« J’en ai
rêvé déjà toute petite… »
Passion
fatidique, 1988.
Et L’homme
en or lui aussi se montre parfois homme-enfant :
« Il a des mots d’enfant »,
Lui, 1980.
« …sur le biceps il avait
Un tatouage
avec un cœur bleu sur la peau blême
Et juste à
l’intérieur on lisait Maman je t’aime »,
L’homme
à la moto, 1983.
« Sentiments
Chaque soir
j’attends
Cet instant
sublime
Où comme un
enfant
Tu me dis je
t’aime…
Et quand tu me
dis Viens
Ce soir la vie nous appartient
Je redeviens
la petite fille fragile
Qui rêvait de
ton île …»,
Sentiments,
1988.
« On lui a cassé tous ses jouets »,
Ne lui
reparlez-plus d’amour, 2002.
©ED et GD.
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