Pourquoi, dites-moi, Diva,
pourquoi avez-vous choisi cette image pour nous dire que vous nous attendiez,
le dimanche 11 janvier 2015, à l’Olympia, à 16 heures ? Nous serons là bien avant l’heure, et peu
importe une demi-heure d’attente de plus ou de moins… Vous nous attendez, pour
nous chanter…l’amour, toujours…, l’amour en général et puis le nôtre, qui dure
depuis plus de 50 ans. Votre plus belle histoire d’amour, est-ce nous ?
Peut-être nous le direz-vous (ou ferez-vous seulement semblant de le croire?)…
Peu importe, l’amour se soucie peu de nos âges, des classements, des hiérarchies et des degrés.
Peu importe, l’amour se soucie peu de nos âges, des classements, des hiérarchies et des degrés.
« J’m’en fous d’l’hiver
J’m’en fous d’mourir
J’m’en fous de perdre
J’m’en fous d’vieillir
D’être la plus belle
D’être en premier… »,
chantiez- vous dans Et si plaisir d’amour, en 1987.
Vous êtes revenue à ce titre
« Amour, toujours »…, et cela nous plaît bien. Mais l’essentiel est
que vous nous attendiez, que le rendez-vous ait bien lieu. 28, boulevard
des Capucines, à Paris, 9°, on connaît le chemin, et les horaires de tous les
trains.
Vous avez choisi une bien belle image de vous pour
l’annoncer, dans ce Paris qui, pour quelques dates (quatre…) va devenir le vôtre,
une image de papier glacé élégante et sobre, en blanc, en noir et en couleurs, qui
nous parle quand même de vous, là, tout près de nous, si proche, en très gros
plan. Ce qu’on y voit d’abord c’est le bleu horizon de vos yeux qui nous
regardent franchement, empreints de chaleur et de bienveillance, c’est aussi la
lueur amusée qui l’éclaire, c’est votre sourire ouvert… Oui, vous nous attendez,
et l’accueil que vous nous y ferez s’annonce des plus chaleureux, en
effet … Cette promesse, au cœur de l’hiver, ne peut que nous séduire. Mais
que nous disent ces boucles d’or, ces bracelets ? En cinquante ans des
liens se sont tissés, nous nous sommes attachés, "nous nous sommes épousés", en
effet, nous sommes « comme deux moitiés de pomme… » Mais nous vous
espérons libre, libre de nous plaire, de nous surprendre, et même de risquer
déplaire aux uns pour plaire à d’autres…
Malgré tout, on vous retrouvera,
nouvelle et fidèle à vous-même, vous effleurerez sûrement cette alliance que portez
à votre cou avant d’entrer en scène, et dans l’écrin non pas de vos mains mais
de la lumière, vous nous offrirez, encore une fois, le cadeau de votre présence.
Pour un moment d’amour, de
complicité et de partage, comme toujours…
Que cette affiche, après
quelques hésitations et modifications, tapisse à présent les couloirs des métros, des aéroports, qu’on
la retrouve au coin des rues, des avenues, des boulevards, dans la presse et
partout sur le net… pour annoncer la première étape du Paris de la diva, du
Paris de Michèle Torr.
L’admirateur
© G.D. & E.D.
© G.D. & E.D.
Olympia 2015, lever de rideau.
Michèle Torr a toujours souhaité que ses spectacles
parisiens soient précédés d’une première partie pour permettre à des jeunes ou
à des artistes plus confidentiels de se faire connaître. Ainsi Patrick
Sébastien, Alexandra Cravero, Alan Vermeer, Michel Orso, Olivier Villa…
Et en 2015, à qui le tour ?
Zize du Panier !
Mais qui est-ce ?
Voici comme elle se présente elle-même :
«Je suis 100 % marseillaise. Je représente le chic
marseillais, le bon goût. Et ma famille, non. J'aimerais vivre dans "Les
feux de l'amour". Je chante, d'ailleurs je chante le 11 janvier à
l'Olympia, en première partie de Michèle Torr, "Je m'appelle Zize".
Une vieille chanson qu'on a réactualisée.
Ça disait "Un bal y est donné, la belle Zize voulait aller danser ».
C'est devenu « Je m'appelle Zize, je suis la star de
mon quartier ».
C’est ce que Zize a confié à Yves Lecocq lors de l’émission
Les Grands du Rire diffusée le samedi 6 décembre 2014, qui a ainsi
conclu :
« Merci Zize.
Paris vous tend les bras ».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire