Se sont succédés Une vague bleue, Je ne veux chanter que
l'amour, Le pont de Courthézon, Mon ange, T'es l'homme qu'il me faut, Lui, J'en
appelle à la tendresse, A mon père, Discomotion, Le petit bonheur, La quête,
Emmène-moi danser ce soir, J'aime, Et toute la ville en parle, Un enfant c'est
comme ça, Je m'appelle Michèle,
Qu'est-ce qu'ils disent, Halléluja et, pour finir, La couleur des mots.
Avenante au moment de rendre hommage à C. Jérôme, Edith Piaf
ou Jacques Brel, Michèle Torr était en forme, en symbiose une formation musicale qu'elle retrouvait avec
bonheur et avec le public. Les chansons intimistes pour lesquelles la voix de
la chanteuse se suffisait à elle-même (dont La
Quête, interprétée avec maestria a capella et sans micro, ou Halléluya, de Léonard Cohen) alternaient
avec des titres plus rythmés, magnifiés par des orchestrations dont le ton jazzy était donné par le guitariste et
le bassiste. Si on retrouvait presque tels quels les tubes comme Emmène-moi danser ce soir ou J’en appelle à la tendresse, en écoutant
Lui, par exemple, complètement
revisité, on était proche de l'atmosphère d'un spectacle de Véronique Sanson...
Les fidèles ont retrouvé la Michèle Torr qu’ils aiment tant et
un nouveau public, plus jeune, a été surpris et conquis par ce nouveau
spectacle.
(Merci à nouveau à Lionel, de Radio Aix, pour nous avoir
confié ses impressions).
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