Ainsi Michèle Torr a chanté à l'Olympia en janvier (1987, 1996, 1998, 2003, 2015), en février (en 1970, 1980), en mars (en 1980, 2005), en avril (en 2008)*, en mai (en 2011)... en septembre et octobre (1964), en novembre (1982, 2002), en décembre (en 1982).
*Elle a aussi participé à la fête des 100 ans de l'Olympia le 28 avril 1993, au cours de laquelle elle a chanté La mamma de Charles Aznavour avec le groupe Alma Ritano.
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| Avec Maurane, Catherine Lara et Liane Foly |
Et la boucle est bouclée...
Le spectacle des Folies Bergère (disponible en DVD depuis septembre sous le titre Un soir rue Bergère) était certes formidable, mais n'est-ce pas à l'Olympia que Michèle a connu ses heures de gloire, à l'Olympia qu'on aurait aimé la retrouver, par exemple en septembre, octobre … ou décembre 2024 peu importe, 60 ans tout juste après ses débuts à Paris, en vedette anglaise de Claude François ? Cela aussi aurait eu du sens…
Alors c’est à l'Olympia, que, après peut-être une nouvelle production discographique, peut-être elle reviendra... En tout cas elle l’espère pour avril 2027, a-t-elle confié lors d’une interview au magazine Nous Deux : « Je prépare aussi un nouveau spectacle. J’espère que ce sera à l’Olympia. Cette salle est tellement importante pour moi, c’est celle de Brel, de Piaf, de tous ceux qui m’ont donné envie de faire ce métier », mais aussi dans plusieurs autres interviews. Pour y fêter ses 80 printemps.
Et peut-être enfin y chanter la très belle chanson dont sa professeure de chant, Mme Paule Viaud, lui a écrit la musique en 1978, et qui y serait parfaitement de circonstance : Le cours de chant.
« En 62 dans un petit village de Provence J'apprenais à chanter Sur la musique de mon professeur de chant Tous les jeudis après-midi Je venais là au cours de chant Et le piano du professeur remplaçait à lui seul mes jouets d'enfant Je chantais cette mélodie Tous les jeudis après-midi Au cours de chant A 14 ans je me disais Je deviendrai quelqu'un de grand Je chanterai sous les bravos Et plus rien n'existait que cette envie Je rêvais de voir Paris A 14 ans Je me disais Je chanterai De Courthézon à l'Olympia Il n'y a qu'un pas mais qu'il est long ce chemin-là Il y a des soirs de désespoir et puis des jours de gloire Je n'oublie rien au fond de moi De Courthézon à l'Olympia Je n'oublie pas Je n'oublie pas »
Paroles de Jean Albertini et Didier Barbelivien.
Ce serait une magnifique « première » ou un très beau final...
Pour boucler la boucle.
* 111 environ.






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