« Je n’ai plus le temps
De perdre du temps
Je n’ai plus envie
De gâcher ma vie… »,
Je n’ai plus le temps, 2019.
Quand sur la scène du Trianon le 18 octobre 2015, elle a
repris Je suis seule ce soir,Michèle
Torr n’a pas hélas, chanté le deuxième couplet de la chanson de Léo Marjane
évoquant la solitude des femmes pendant la seconde guerre mondiale, celui dans
lequel il est question du temps :
« Dans la cheminée, le vent pleure,
Les roses s'effeuillent sans bruit,
L'horloge, en marquant les quarts d'heure,
D'un son grêle berce l'ennui ».
Après le medley de chansons de Mistinguett :
« Et depuis ce temps-là
J’ai eu des hauts des bas
Oui mais le passé maintenant
C’est le passé
Paraît que j’ai la binette
De Mademoiselle Mistinguett
Comme elle n’est que gaité
Je peux chanter
Je suis une blondinette
Une vraie coquette
Et dans tout Paris on m'suit… »,
l’évocation du temps, on la trouve par contre dans Si je
n’avais plus empruntée à Charles Aznavour :
« Si je n'avais
plus
Si je n'avais plus
Plus qu'une heure à vivre
Une heure et pas plus
Je voudrais la vivre
Au creux de ton lit
Car j'aurais chéri
Ma peur à combattre
Penché sur ta vie
Pour l'entendre battre
Je pourrais garder
Au fond de mon cœur
Sous la terre froide
Un peu de chaleur
Que j'emporterais
Si je n'avais plus
Si je n'avais plus
Plus qu'une heure à vivre
Une heure et pas plus
Je voudrais la vivre
A l'aube d'un jour
Sur un lit d'amour
Pour n'avoir à dire
Que des mots d'amour
Pour te voir sourire
Et ne plus penser
Et ne plus penser
Qu'une autre après moi
Te verras sourire
Qu'une autre après moi
Pourra t'enlacer
Et dans un baiser
Et dans un baiser
Le corps apaisé
Le cœur allégé
D'un million de doutes
Mon dernier sommeil
M'ouvrira la route
Qui mène au soleil ».
On ne peut entendre ces trois reprises que sur le DVD De
l’Olympia au Trianon…
Puis entre 2015 et 2016 a eu lieu une tournée des églises et
des cathédrales avec un tour de chant comportant quatre autres reprises
« De ce monde ignorant de l'amour,
Où commence aujourd'hui son séjour,
Qu'il soit Roi pour toujours !
Paix à tous ! Gloire au ciel !
…Gloire au sein maternel,
Qui pour nous, en ce jour de Noël,
Enfanta le Sauveur éternel,
Qu'attendait Israël ! »,
Douce nuit, sainte nuit,
La Prière de Georges Brassens,
Le Noël de la rue d’Edith Piaf et la version française d’Edith
Martel de l’Halleluja de léonard Cohen.
« Pourquoi rêver d'un paradis
C'est maintenant et c'est ici
Qu'il faut unir nos espoirs et nos joies
On dit "demain" on dit "plus tard"
Mais si demain c'était trop tard
Pour partager ce bonheur...
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Comment trouver l'accord secret
Qui nous apportera la paix
Qui répondra aux "comment" et aux "pourquoi"
Alors il faut chaque matin
Ouvrir son cœur , ouvrir ses mains
Et faire du nouveau jour un
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
On vient sur Terre
pour aimer
Pour vivre ensemble et partager
Et faire de chaque jour un feu de joie
La vie est une symphonie
Chacun de nous en fait partie
Ensemble il faut chanter
Ö Alléluia ! Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !... » ;
Carpe diem !
A suivre.
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