Michèle Torr chante sa famille (suite).
Pas souvent, c’est vrai :
« Ma chère mamie je t’écris… »,
N°1 avenue de la solitude, 1980.
C’était en chanson la lettre fictive d’une petite-fille
s’adressant à sa grand-mère pour se plaindre de son éloignement et de sa
solitude affective.
« …de temps en
temps
Je m’en vais cueillir dans les champs
Quelques fleurs de printemps
Comme le faisaient nos grands-parents »,
Nos arrière-grands-parents, 1977.
Dans la même chanson, elle demande :
« Qu’auraient dit nos
arrière-grands-parents ? »
face à tous les changements que nous impose le monde
moderne.
Elle a aussi livré quelques confidences sur sa grand-mère
maternelle Paula, qui l’a parfois suivie lors des concerts, et sur le fait que
son père était un enfant de l’Assistance Publique dans son autobiographie La
couleur des mots…
© ED et GD.
Bonjour,
RépondreSupprimerPour répondre à votre question concernant la chanson " Ceux qui laissent est-elle signée par eux deux comme c’est mentionné sur le CD ou bien Stéphane Chapel et Philippe Banbuck comme c’est indiqué dans le livret ? "
Je suis Stéphane Chapel et je suis bien l'auteur du texte Ceux qui laissent, compositeur Philippe Banbuck (ainsi que du texte Vague à l'homme sur l'album du même nom interprété par Michèle Torr).
C'est une erreur (grosse) du producteur qui a inversé les noms.
Je n'ai pas voulu faire réimprimer le CD !!
Vous pouvez donc corriger votre article et supprimer le doute à ce sujet.
Vous auriez pu également poser la question à Michèle, transmettez-lui mes amitiés.