samedi 12 avril 2025

Michèle Torr au Coteau le 12 avril 2025


Roanne. 60 ans de carrière au Coteau
Concert Michèle Torr, vedette des années 1960-1970, plongera le public dans la nostalgie de l’époque yé-yé, samedi 12 avril, sur la scène de l’Espace des marronniers, au Coteau, dans la Loire.
Par Kévin Peguet

Publié le 10 avril 2025 à 06h00. Le Pays. 


Michèle Torr réveillera le cœur du public pour un concert exceptionnel. © Droits réservés

Ses chansons sont comme une bande-son intemporelle de nos vies. Michèle Torr a toujours les cheveux blonds, et les yeux bleus horizon… Comme elle le présageait en 1976, l’interprète de Je m’appelle Michèle chante encore des chansons, pour le plus grand plaisir de ses nombreux admirateurs. Discrète, Michèle Torr a traversé les époques, armée de son répertoire follement romantique, et surtout de sa voix au timbre puissant et envoûtant.

De nos chagrins futiles d’adolescents (C’est dur d’avoir seize ans) à ses triomphes de vedette ( Emmène-moi danser ce soir , J’en appelle à la tendresse …), l’artiste de 78 ans a chanté la vie. La sienne. Les nôtres. Avec, toujours, l’amour à la Une. « J’ai fait ce métier pour faire rêver le public, pour le faire sourire, quelquefois pleurer, aussi », confie Michèle Torr au Pays .

L’artiste poursuit la tournée célébrant ses 60 ans de carrière avec un enthousiasme intact : « Non seulement la scène est toujours ma passion, mais j’en ai besoin : sur scène, je suis chez moi. » Michèle Torr offrira au public un tour de chant construit autour de morceaux soigneusement choisis parmi les quelque 460 chansons de son répertoire, mais pas seulement. « Je vous assure que le choix n’a pas été simple ! Il y aura bien sûr les incontournables que le public attend. Mais je m’offre le plaisir de chanter des chansons d’autres interprètes, comme Jacques Brel, ou Édith Piaf », révèle-t-elle. Accompagnée par un orchestre conséquent, la chanteuse comblera à coup sûr le public fidèle, qui la suit depuis près de six décennies.

« Pour marquer la réouverture de la salle »

L’instigateur de ce concert hors du commun n’est autre qu’Henri Giraud, le « Coluche » costellois, ami de Michèle Torr. Il confie : « Nous nous sommes rencontrés sur la tournée Âge tendre et têtes de Bois, en 2011. Nous avons sympathisé et j’ai toujours souhaité qu’elle vienne nous rendre visite. J’en suis très heureux, et je sais que je suis loin d’être le seul. Michèle est très attendue ! »

Un sentiment d’ailleurs partagé par la chanteuse, qui n’a pas hésité à accepter l’invitation : « Même si l’excitation n’est pas la même, je prends autant de plaisir à chanter dans de petites salles qu’à l’Olympia. Et Henri défend tellement bien cet Espace des marronniers », plaisante Michèle Torr.

Après avoir accueilli Chimène Badi en 2021 ou encore Amaury Vassili en février dernier, l’Espace des marronniers recevra l’une des plus emblématiques chanteuses de la période yé-yé, samedi 12 avril. Avec cette programmation 2025, l’association Cost’art a évidemment frappé un grand coup. « Nous avions décidé de marquer la récente réouverture de la salle. Le public avait un peu perdu l’habitude de venir nous voir. Pour les prochaines saisons, nous construirons un programme plus éclectique (théâtre, musique…) toujours en proposant une tête d’affiche “variété”, le tout à des tarifs raisonnables », résume Henri Giraud. 

Michèle Torr célèbre 60 ans de carrière : à voir ce samedi 12 avril sur scène
Le Progrès -


Un talent et une voix intactes. Photo Yannick Vernay.

Culture. Michèle Torr fête ses 60 ans de carrière au Coteau : "Je fais ce métier pour faire rêver le public"


Michèle Torr, vedette des années 1960-1970, plongera le public dans la nostalgie de l’époque yé-yé, samedi 12 avril, sur la scène de l’Espace des marronniers, au Coteau, dans la Loire.
Par Kévin Peguet. Le Pays.

Publié le 10 avril 2025 à 06h00

Michèle Torr réveillera le cœur du public pour un concert exceptionnel. © Droits réservés

Ses chansons sont la bande-son intemporelle de nos vies. Quelques jours avant son concert exceptionnel au Coteau, samedi 12 avril, la discrète interprète des tubes Je m’appelle Michèle et Emmène-moi danser ce soir se livre, la passion toujours chevillée au corps.

Vous le chantiez en 1976, dans votre tube Je m’appelle Michèle : vous avez toujours les cheveux blonds, les yeux bleus horizon, et vous chantez encore des chansons. Rassurez-nous, c’est toujours votre passion ? 

Non seulement c'est toujours ma passion, mais c'est même un besoin. Lorsque je suis éloignée de la scène trop longtemps, je ne me sens pas bien. C’est presque un manque, j’ai besoin de monter sur scène comme de respirer.

Qu’est-ce qui vous transcende sur scène ?

Difficile à dire... Peut-être faut-il vivre ce sentiment pour le comprendre. Sans doute l’adrénaline, le partage avec le public. Monter sur scène, c’est jouer, c’est être autre. On laisse tout de côté. Je suis quelqu’un de réservé dans la vie quotidienne, mais sur scène, je suis chez moi.

Vous avez connu le succès très jeune, à seulement 16 ans. 60 ans plus tard, vous êtes toujours là. Imaginiez-vous un tel destin ? 

Bien sûr que non. Quand on est jeune, on n’y pense pas, on est tellement sûr de soi. Les doutes viennent après. Ma jeunesse, je l’ai vécue dans une époque en liesse : tout allait bien et nous avions la chance de faire ce dont nous rêvions. Mais je n’imaginais pas ce scénario. 

Vous avez chanté nos chagrins d’adolescents, vous êtes devenue celle que nous rêvions "d’emmener danser". Aujourd'hui, vos chansons apparaissent comme un remède à la morosité ambiante... 

Si c’est le cas, tant mieux ! Notre métier, c’est de distraire, d’apporter un peu de joie. Pour moi comme pour tous ceux qui les écoutent, les chansons reflètent certains moments d’une vie, des rencontres, et les gens se les approprient au fil du temps. J’ai fait ce métier pour faire rêver le public, pour le faire sourire, quelques fois pleurer, aussi. Pour donner de l’émotion, en somme, et aussi pour en recevoir, car c’est un échange. Et le public donne tellement !

Les chanteurs de l’époque des yéyés n’ont pas été épargnés par la critique. Pourtant, l’héritage que laisse votre génération est colossal ! Vous êtes donc bien placée pour livrer votre regard sur la variété française actuelle... 

Tout a tellement changé ! Il y a des choses que j’aime beaucoup et d’autres que je comprends moins. Quand mes petits-enfants me font écouter du rap, j’avoue que j’ai un peu de mal. C’est sans doute normal, j'ai accompagné ma génération comme les artistes d’aujourd’hui accompagnent la leur. 

Faites-vous partie de ceux qui pensent qu'avant, c'était mieux ?

Absolument pas ! Le monde et la chanson étaient différents, mais nous avons encore des artistes de grande valeur. Santa, par exemple, possède un talent extraordinaire ! J’apprécie également beaucoup Louane, Vianney, entre autres. D'autant que je trouve qu’il est beaucoup plus difficile pour les jeunes artistes de percer aujourd’hui. Quand il n’y avait trois chaînes de télévision, les gens nous attendaient, nous faisions l’évènement. C’est beaucoup moins évident actuellement.

Quel rapport entretenez-vous avec vos propres chansons ? 

Une chose est certaine, quand je les chante, j’y crois complètement. Il est vrai que je laisse certaines chansons plus légères sur scène, alors que d’autres me marquent bien au-delà. J’en appelle à la tendresse est une chanson que je ressens très fort dans la vie de tous les jours. Elle me colle à la peau, et je trouve encore très actuel ce magnifique texte de Didier Barbelivien...

Comment avez-vous sélectionné les titres qui figurent au tour de chant de ce 60e anniversaire ? 

Avec 460 chansons, je vous assure que cela n’a pas été simple. Il y a des incontournables, que le public attend. Mais je m’offre aussi le plaisir de chanter des chansons d’autres interprètes, comme Brel, ou Piaf. 

"Dans ces espaces intimistes, nous sommes plus proches du public, j'entends mieux ses réactions. Il suffit d’apercevoir le sourire d’un spectateur pour vous donner une raison, et l’envie de continuer."

Ce sont eux qui vous ont donné envie de faire ce métier ? Brel et Piaf ? 

Bien sûr, mais aussi tellement d’autres ! Léo Ferré et surtout Dalida, qui était une grande interprète et une femme que j’aimais énormément. Dans un autre registre, je mentionnerai également Raymond Devos. Quelle merveille ! Encore aujourd’hui, j’adore écouter ses textes.

Vous vous déplacez avec un orchestre conséquent. Pourquoi privilégier la musique live ? 

J’ai toujours chanté avec de la musique live, que ce soit avec un orchestre, comme ce sera le cas au Coteau, ou avec seulement deux musiciens. Je trouve que c’est essentiel. Même si le tour de chant reste identique, la composition musicale offre une dimension différente.

Sur l’invitation d’Henri Giraud, vous vous produirez à l’Espace des Marronniers (500 places). Que ressentez-vous à l’idée de chanter dans cette petite salle ? 

Je prends autant de plaisir à chanter à l’Olympia que dans des salles plus modestes. Et puis, il faut dire qu’Henri tenait à ce concert, et qu’il défend cette salle remarquablement bien (rires). Dans ces espaces intimistes, nous sommes plus proches du public, j'entends mieux ses réactions. Il suffit d’apercevoir le sourire d’un spectateur pour vous donner une raison, et l’envie de continuer.

Ce public, qui vous suit parfois depuis soixante ans… 

C’est extraordinaire d’avoir un public si fidèle. Je me souviens que lorsqu'on m’a proposé de sortir une intégrale de mes chansons, en 2023, ma première réaction a été de me demander : "Mais qui cela peut-il intéresser ? Le public connaît déjà ces chansons par cœur (rires)." Et là encore, les gens ont été au rendez-vous.

Pratique. Samedi 12 avril à 20 h 30, à l’Espace des Maronniers au Coteau.

Les répétitions...




Michèle Torr a emmené son public chanter hier soir au Coteau


Michèle Torr fête ses 60 ans de carrière dans une tournée qui s'est arrêtée, le temps d'un concert, salle des Marronniers au Coteau ce samedi 12 avril.
Par Pascal Jacquet

Après six décennies, l'artiste est restée la même, passionnée par la chanson et son métier. Le lien qui le relie à son public ne s'est pas effiloché non plus malgré le temps, preuve encore ce samedi 12 avril, salle des Marronniers au Coteau.

Ils étaient venus très nombreux l'écouter chanter ses plus grands succès, et sont repartis ravis de la rencontre avec la grande dame de la chanson française, toujours aussi simple et abordable. "Lorsque je suis éloignée de la scène trop longtemps, je ne me sens pas bien. C’est presque un manque, j’ai besoin de monter sur scène comme de respirer", expliquait-elle il y a peu.

Peut-être que ce besoin vital de chanter devant son public ramènera un jour Michelle Torr en Roannais.





Michèle Torr fête ses 60 ans de carrière en tournée et s'est arrêtée au Coteau ce samedi 12 avril. Photos Georges Burellier

Publié le 13 avril 2025 à 09h29

Michèle Torr, Le Coteau le samedi 12 avril 2025, ce qu'ils en disent...





"Michele Torr 🤩 Merci pour ce beau moment 😍 J'ai été bercé par ses chansons...Un gros retour en enfance et plein de souvenirs... Ça fait partie des voix françaises que j'admire le plus ... Certains diront que j'ai des goûts de vieux, mais je les assume à 300 % ! Quel plaisir de retrouver l'équipe de Richard Gardet, avec ses choristes, Amandine Baillon et Camille Monnet , à la voix de velours 😁
A cet été pour des nouveaux shows !
Forcément une pensée pour ma petite mémé sur l'hommage à Piaf 🥰"
Mathieu Badolle.





"Oui j’ai passé une magnifique soirée bravo madame Michèle Torr et la surprise que Henri Giraud « sosie de Coluche » vous a faite pour votre anniversaire vos 78 printemps, toujours une magnifique voix j’ai adoré ce moment merci 🥰"
Sylvie Moussé. 





"Concert Michèle Torr au Coteau (42) avec surprise d anniversaire pour les 78 printemps",
Gérard Claude Rico.





"Magnifique spectacle. Que du bonheur  👏👏👏.
" Marie Jane Marcet.




 

jeudi 10 avril 2025

Un soir d'avril… Michèle Torr à l’Olympia. 2008. Du 10 au 13.



Un soir d'avril… Michèle Torr à l’Olympia.
2008. Du 10 au 13.

Après avoir songé à un album de reprises de chansons réalistes, c’est finalement dans le prolongement de l’immense succès de la tournée Age tendre et tête de bois, à laquelle elle a participé dès le début, que la chanteuse choisit comme titre du spectacle à l’Olympia du 10 au 13 avril 2008 Ces années-là : quelques jours après le trentième anniversaire de la mort de Claude François, elle reprend Hier est près de toi et Cette année-là, lui dédie On aurait pu s’aimer d’amour ; elle chante ses deux premiers succès : C’est dur d’avoir seize ans et Dans mes bras oublie ta peine ; dans une deuxième partie plus grave, elle reprend à nouveau Pour ne pas vivre seul, crée Son paradis c’est les autres en hommage à Sœur Emmanuelle (single l’année suivante), ainsi que C’était toi (en pensant à son ex-mari jean Vidal, décédé quelques années plus tôt), On se reverra et Toutes ces nuits… Le double CD et le DVD du spectacle sortent en novembre, disponibles sur Internet seulement.



Quatre soirs à guichets fermés.

Tenues de scène choisies chez Yves Saint-Laurent.





 

lundi 7 avril 2025

Michèle Torr a 78 ans : "Ce n’est pas mon mari mais… ", sa mise au point sur sa relation avec Stéphane, de 45 ans son cadet

Exclu Purepeople lun. 7 avril 2025.

Comme son ami Johnny Hallyday, Michèle Torr marche à l’envie. Du haut de ses 60 ans de carrière, le jour de son 78e anniversaire, l’artiste iconique nous parle de toutes ses envies qui la gardent vivante. Ses envies de chanson, ses envies de famille, sans oublier ses envies d’amour (très commentées depuis qu’elle a évoqué un compagnon beaucoup plus jeune qu’elle), c’est une "petite française" sans filtre et en toute simplicité qui a répondu à TOUTES nos questions.

PurePeople : 60 ans de carrière… Bravo ! Comment appréhendez-vous le temps qui passe ?

Michèle Torr : Je n’ai pas de soucis avec le temps qui passe. Les choses changent doucement, évidemment, mais j’ai la chance de pouvoir toujours faire ce que j’aime par-dessus tout, à savoir être entourée des miens et monter sur scène. Oui, les choses se font peut-être plus doucement, mais je n’ai aucune anxiété quant à voir le temps filer.

Quel est votre plus beau souvenir d’artiste en six décennies ?

Sans hésiter, mon premier Olympia en tant qu’artiste principale en 1980. Voir mon nom en lettres rouges sur le devant de cette institution m’a fait énormément plaisir. J’y avais déjà fait des premières parties d’Enrico Macias ou Claude François avant ce soir-là… Mais là, en 1980, je l’ai fait un mois à guichet fermé. Ce n’est pas n’importe quoi, l’Olympia. C’est le temple de Piaf, de Brel…

Jacques Brel qui vous a vu débuter justement !

Oui, mais pas à l’Olympia (rires). J’avais 15 ans et venais de gagner un concours de chanson à Avignon, dans le sud de la France. À cette occasion, on m’a proposé de faire la première partie de Jacques Brel qui passait dans le coin au même moment. Ça a été quelque chose, croyez-moi !

Il vous a donné un conseil avant de monter sur scène ?

Non. À l’époque, je savais que j’étais faite pour la chanson, mais quand j’ai vu Brel sur scène, je me suis mise à douter. Quelle bête de scène !

Avez-vous toujours le trac avant de monter sur scène, même après 60 ans de tournées ?

TOUJOURS ! Une catastrophe. L’instant avant d’arriver sur scène est toujours aussi compliqué. Il faut me laisser seule dans ma loge un petit moment. Je n’entends rien, ne vois personne. Le trac monte d’un coup et redescend aussitôt sur scène. Face à mon public, je deviens le personnage qu’ils aiment tant, celle qui les emmène danser le soir (rires).

Vous n’en avez pas marre de cette chanson (Emmène-moi danser ce soir) ?

Non. Et heureusement ! Je ne saurais pas vous expliquer comment ou pourquoi, mais quand je la chante, ça n’est jamais pareil. Les réactions dans la salle diffèrent, mes émotions sont plus ou moins vives… Mais il n’y a pas de lassitude !

Que dirait l’artiste que vous êtes aujourd’hui à la "Petite française" (titre d’un de ses tubes NDLR) que vous étiez à vos débuts ?

Oh… Qu’il ne faut pas trop s’inquiéter. Que la vie qui arrive est superbe et va la combler. Pas que sa vie de chanteuse. Celle aussi de maman, de grand-mère… Elle lui dirait qu’il y aura des coups durs, mais qu’elle surmontera tout. Je lui dirais : garde l’envie. C’est le meilleur des moteurs.


Semi-exclusif - Concert de Michèle Torr, "60 ans de chanson", au Théâtre des Folies Bergère à Paris, France, le 29 Octobre 2023. © Bertrand Rindoff / Bestimage

Est-ce que vos enfants Romain (qu’elle a eu avec le chanteur Christophe, atteint de sclérose en plaques aujourd’hui NDLR) et Emilie (eue avec Jean Vidal, son époux de 1969 à 1989 NDLR) vous demandent de lever le pied ? Vos 5 petits-enfants doivent vous réclamer…

Pas du tout ! Ils savent que monter sur scène est un besoin vital pour moi. Chanter, pour moi, c’est comme respirer. Et tant que je le pourrai, je le ferai. Vous savez, je pars en tournée comme je pars en vacances. Et je ne suis entourée que de jeunes… Mes musiciens, mes amis… Tous sont très jeunes ! Je suis bien avec les jeunes.

En parlant de jeunesse autour de vous, vous avez récemment révélé votre relation avec Stéphane, un Ivoirien de 45 ans votre cadet, dans les pages de France Dimanche…

Oui.

Comment le vit-il, lui ?

Oui, il vit chez moi. Oui, il est bien plus jeune (il a 32 ans NDLR). Quand je l’ai rencontré à Abidjan, j’avais envie d’adopter tous les enfants que je rencontrais… C’est parti comme ça…

Et ça s’est transformé en amour avec Stéphane…

Ce n’est pas mon mari… Mais ça n’empêche pas l’amour.

Il travaille dans un restaurant pas loin de chez vous : les clients ne viennent pas le voir et l’importuner au sujet de sa vie de couple avec une star de la chanson ?

Les locaux savent qu’il vit chez moi, bien entendu. Je ne vais pas le voir à son travail. Mais je sais que les gens le saluent dans la rue. Et ça lui fait plaisir… (rires)

Que vous souhaiter de plus en ce 7 avril 2025 ? Si ce n’est un très bon anniversaire !

C’est très aimable à vous. Merci beaucoup ! Et venez me voir chanter dans le village où j’ai grandi… C’est à Courthézon, le 12 septembre prochain. On terminera en beauté cette tournée des 60 ans de chansons.

Contenu exclusif ne pouvant être repris sans la mention Purepeople

Article original sur Purepeople

dimanche 6 avril 2025

Michèle Torr, un jour de printemps...

 Michèle Torr,  un jour de printemps. Entre 1947 et 2025.

Bon anniversaire...



Télématin avec Michèle Torr

 Michèle Torr invitée de Damien Thévenot ce dimanche 6 avril 2025.

Elle annonce la dernière date de sa tournée 60 ans de chanson le 12 septembre 2025 à Courthézon, avant un nouveau spectacle et une scène parisienne en 2027.

https://www.france.tv/france-2/telematin/7040305-emission-du-dimanche-6-avril-2025.html



samedi 5 avril 2025

jeudi 3 avril 2025

Michèle Torr à Aix-les-Bains, le 20 avril 2025.

 


🎤 Michèle Torr en concert à CASINO GRAND CERCLE - AIX LES BAINS ! 🎶


📅 Dimanche 20 avril 2025 - 17:00

Music Line productions :

Venez revivre les plus grands succès de Michèle Torr lors d’une soirée exceptionnelle placée sous le signe de l’émotion et de la chanson française. 🌟

Avec sa voix inimitable et son charisme intemporel, l’artiste vous emportera dans un voyage musical unique, entre souvenirs et passion. 💖🎶

🔥 Un moment magique à ne pas manquer ! 🔥

📍 Réservez dès maintenant et laissez-vous emporter par la magie de la scène ! 🎟✨

Lien billetterie : https://billetterie.seetickets.fr/michele-torr-60-ans-de-chanson-spectacle-theatre-du-casino-aix-les-bains-20-avril-2025-css5-otaixlesbainsrivieradesalpes-pg101-ri10392897.html

Michèle Torr, des tubes en série: cette fille, c'était elle!



6° piste du 30cm Master série dont la sortie officielle est enfin annoncée pour le 18 avril 2025, écho à C’est moi de C. Jérôme, la chanson Cette fille, c'était moi , signée Sylvain Garcia, Olivier Toussaint et Jean Albertini, qui évoque déjà les souvenirs d'une femme en quête d’incertaines retrouvailles avec un amour de jeunesse, en Provence, comme dans J’aime ou Ma première chanson précédemment évoquées.


" Elle avait 17 ans, ce n'était qu'une enfant
Elle aimait un garçon, elle aimait le printemps
Lorsque tombait le soir, elle vivait dans l'espoir
Quand arrivait le jour, elle vivait son amour
Elle allait au lycée comme les filles de son âge
Mais elle avait toujours les yeux dans les nuages
Elle avait rendez-vous tous les soirs à 5h
Car elle aurait tout fait pour un peu de bonheur
Cette fille, c'était moi, j'étais là dans tes bras
Tu me parlais tout bas, on était bien comme ça
Cette fille, c'était moi et je passe ma vie
En restant chaque nuit à ne penser qu'à toi
Elle s'habillait d'un jean, d'un foulard et d'un pull
Son journal s'appelait "De l'amour à la une"
Elle allait en vacances près de Saint-Paul de Vence
Elle partait avec lui au soleil du midi
Cette fille, c'était moi, j'étais là dans tes bras
Tu me parlais tout bas, on était bien comme ça
Cette fille, c'était moi et je passe ma vie
En restant chaque nuit à ne penser qu'à toi
Elle se souvient toujours qu'ils s'étaient embrassés
Pour la première fois par une nuit d'été
Elle aimerait encore un instant retrouver
Le goût un peu salé de ce premier baiser…"



Sur le même thème il y avait eu Premier amour en 1974, il y aura encore Au nord de la ville en 1979 (cosignée par C. Jérôme), Petit Jean en 1985, et d’autres encoreNous sommes en 1975 et ce fut un tube : 210 000 45 tours vendus ! Sa sixième plus forte vente de 45 tours.


"Oh la la c'est l'amour..."
La chanson devient en allemand Wie das Leben so spielt et Bleu, la face B, Die Farben dieser Welt. A retrouver sur l'Intégrale Studio de 2023.